Le nouveau patron de Twitter publie les coulisses de l'escroquerie de SRAS-2 chez Twitter par les anciens propriétaires.
Il démontre la censure qui a été mise en place à la demande du régime politique, tant dirigé par l'équipe Trump que par les mondialistes extrémistes représentés par Biden.
Tout passait à la broyeuse : l'information incontestable, les savants, experts et docteurs, les personnes lambdas...
La première censure a été exigée par l'équipe Trump, pour tenter d'enrayer les pénuries dans les magasins. Il a alors été demandé à Twitter de censurer de manière générale tout ce qui était relatif à la grippe SRAS-2. Finalement, c'était certainement le meilleur médicament contre cette hystérie politisée injustifiée, destinée à porter atteinte aux libertés, à l'économie de certaines entreprises, de certains pays, et destinée à porter préjudice à certains politiciens. Les mondialistes modérés ont bien compris le danger.
Lorsque l'équipe ultra-mondialiste est arrivée au pouvoir en janvier 2021, les exigences de censure ont augmenté drastiquement, mais pour la raison inverse : le clan Biden a immédiatement exigé de relancer l'escroquerie en censurant tous les opposants politiques à l'escroquerie de SRAS-2. L'objectif portait en particulier sur les piqûres et injections de produits bizarres, toute personne contre cette politique négationniste envers la médecine et la science devait être censurée. Les extrémistes mondialistes ont déployé une propagande très violente à l'égard de Twitter en accusant à tort l'entreprise d'être criminelle en ne censurant pas la contestation. C'était la fuite en avant, en exigeant que Twitter censure les nombreuses alertes aux dangers des effets des produits injectés, les vrais criminels à la tête de l'Amérique tentaient de transférer leur criminalité avérée sur ceux qui les dénonçaient.
Etonnamment, Twitter n'a pas entièrement suivi les exigences hystériques des fous mondialistes et a souhaité laisser un minimum de liberté d'expression sur le sujet. Probablement car le nombre de vrais utilisateurs à censurer aurait été beaucoup trop important, ce qui aurait mis en péril l'entreprise. Toutefois, beaucoup des comptes les plus visibles ont été censurés, la censure se faisant au cas par cas, mais non globalement.
Mise face à la tâche de devoir répondre aux exigences des fanatiques mondialistes, tout en refusant de censurer globalement un nombre extrêmement massif d'utilisateurs, Twitter a souhaité maintenir sa stratégie de censure au cas par cas, mais en se donnant les moyens de traiter ses utilisateurs en masse. L'entreprise a alors utilisé l'intelligence artificielle pour censurer les Tweets en fonction de l'idée véhiculée : selon la nuance exprimée, le Tweet était autorisé ou non. Problème : l'IA n'est pas encore suffisamment aboutie pour ce niveau de censure politique.
Alors l'entreprise a sous-traité la censure à des personnes sous-payées, dans les pays pauvres, qui suivaient des consignes simples, subjectives, arbitraires. Dans le doute du censeur ou de ses responsables, la censure prévalait, que les propos soient exacts n'épargnait pas de la censure.
Un des premiers buts de la médecine est de calmer le patient, d'éviter la peur, l'anxiété, la panique collective. Puisque les discours rassurants s'opposaient à la propagande par la peur, Twitter les censurait sous le motif qu'ils étaient dangereux, la peur étant nécessaire au manipulateur, qui cachait cela sous le prétexte que la peur favorisait l'idée de la dangerosité du virus : quoi de mieux qu'une propagande basée sur la peur, qui s'auto-alimente en peur ?
https://francais.rt.com/international/103282-dossiers-twitter-revelations-sur-pressions-politiques-moderation-pandemie
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