21 octobre 2022

L'AVERTISSEMENT : DIEU VA SE MANIFERTER SOUS PEU DE TEMPS


SAINT MICHEL ARCHANGE 




– Tout va commencer, mais d’abord Je veux par ce Message vous demander d’apprendre à vivre dans la Volonté Divine, afin que le Jugement de l’Avertissement ne soit pas sévère… Courage Bataillon car la bataille sanglante ne fait que commencer !

Très cher fidèle reste,

*Tout va commencer, mais d’abord Je veux par ce Message vous demander d’apprendre à VIVRE dans la Volonté Divine, afin que le Jugement de l’Avertissement ne soit pas sévère, MAINTENANT IL N’Y A PAS DE TEMPS !

*Vous devez faire des œuvres de miséricorde, car par celles-ci vous réparerez une multitude de fautes, ces derniers jours avant que tout ne commence, faites de nombreuses prières qui donnent de l’indulgence et visitez autant que vous le pouvez le Saint Sacrement pour adorer Dieu. Car Il est TRÈS PRÉOCCUPÉ par TOUT ce qui se passe dans le monde ; et Il déchaînera Sa JUSTE COLÈRE parce que cela est nécessaire pour le retour prochain de Son Fils en tant que Lion de la Tribu de Juda.

*Reste fidèle, mon bataillon est maintenant prêt pour la bataille !

*Mes fidèles soldats ont été choisis par moi et les archanges Saint Gabriel et Saint Raphaël. Leurs missions au sein de cette guerre seront connues le jour de l’Avertissement ; je les porte enchâssés dans mon cœur de guerrier et leurs noms sont inscrits sur la liste des sacrifices et des pénitences au sein de mon armée pour avoir été de bons soldats prêts à donner leur vie pour mon Seigneur Jésus-Christ.

*Courage Bataillon car la bataille sanglante ne fait que commencer ! !! *.

*J’appellerai mes soldats un par un le jour de l’Avertissement pour leur donner les armes et leur armure pour la bataille.

*Tout est déjà prêt et les anges commandants sont prêts à PROTEGER le peuple de Dieu de TOUTE CALAMITE.

*Les personnes scellées ont déjà été marquées comme appartenant à Mon Seigneur Jésus-Christ et l’armée de Mon Seigneur Jésus-Christ et de la Vierge Marie de Guadalupe est prête à se manifester le jour de l’AVERTISSEMENT.

*Si vous sentez que vous n’avez pas donné TOUT ce que le Ciel a demandé pour votre préparation, dans un acte d’humilité, abandonnez TOUT à Dieu et Vivez ce jour et tous les jours à venir DANS LA VOLONTE DIVINE, et ce sera le plus beau cadeau que vous puissiez faire à Dieu le Père.

*Vivre dans la Volonté Divine ouvrira grand les Portes du Ciel, faites-le dès cet instant, en donnant cet instant de vos vies au Dieu Eternel, afin qu’Il vous récompense par la Vie Eternelle.

*Il reste très peu de choses, préparez-vous par une bonne confession et le jeûne, il est temps d’être des hommes fidèles et prêts à donner TOUT VOTRE ÊTRE À DIEU, afin qu’Il puisse vous intégrer à Son Royaume dans Sa Demeure Éternelle où TOUT est Amour et est vécu dans la Joie et l’Allégresse.

*Beaucoup d’entre vous mourront, et d’autres auront l’opportunité d’aller dans les Nouveaux Cieux et les Nouvelles Terres dans vos robes blanchies, la chose IMPORTANTE est le salut de vos âmes.

*Priez beaucoup pour les pécheurs, car ils sont incapables de se sauver eux-mêmes, mais si vous priez pour eux, peut-être qu’une étincelle de grâce entrera dans leur cœur, qu’ils se repentiront et que leur âme sera sauvée.

*Mon armée, PRÊTE POUR LA BATAILLE !!!!

*Les signes ont été donnés, prêts et en place qu’au son des trompettes, TOUT commencera, je vous invite à donner votre dernier effort, car bientôt BEAUCOUP d’entre vous devront rendre des comptes devant le siège du jugement de Dieu.

*Préparez-vous à une bonne mort, car le paradis vous attend.

*MON BATAILLON, J’AI BESOIN QUE VOUS SOYEZ PRÊTS POUR LA BATAILLE !

Qui est comme Dieu, personne n’est comme Dieu !

20 octobre 2022

LOLA:RITUEL SATANIQUE!



On appelle enfants zouhris, au Maroc et en Algérie, des enfants présentant un morphotype et des caractéristiques bien particuliers. En effet, ce sont souvent des enfants roux aux yeux bleus ou blonds aux yeux clairs et ils doivent présenter une ligne continue qui traverse la paume de la main. Ces enfants zouhris sont dits « Chanceux » car ils permettraient d’accomplir des miracles et en particulier de découvrir des trésors enfouis.

Ces enfants zouhris sont systématiquement recherchés et kidnappés pour être ensuite revendus aux Fkihs pour une somme allant de 1000 dirhams à 450.000 dirhams. Ils seront ensuite sacrifiés aux djinns sur l’autel de Satan dans le cadre d’un rituel censé permettre la découverte de trésors enfouis sous terre depuis des siècles. Les enfants Zouhris sont enlevés et égorgés pour faire une offrande aux djinns qui sont les gardiens des trésors. Ces djinns exigeraient une certaine quantité du sang de ces enfants pour permettre aux chercheurs de déterrer des trésors.

Ce sont des faits véridiques régulièrement jugés dans les tribunaux car ce sont bien sûr des pratiques criminelles de la sorcellerie.

La psychose s’empare maintenant de l’Algérie car dans plusieurs régions du pays ce phénomène prend des dimensions alarmantes. Les auteurs de rapts vont même plus loin encore car une fois l’enfant égorgé et son sang récupéré pour les besoins du rituel, ils vont jusqu’à extraire ses organes pour alimenter un trafic d’organes international. On est en présence, certainement, de réseaux maffieux de trafic d’organes évoluant en réseaux organisés, et pour lesquels le gain est au-dessus de toute considération humaine.

Qui sont les Fkihs Soussis ?

 Selon la légende soussie, les terres, les puits et les cimetières faisaient autrefois office de « cachettes secrètes » pour la richesse de nombreuses familles car les banques n’existaient pas.

Ces personnes emportaient généralement leurs secrets dans la tombe et ces trésors disparus devenaient à jamais la propriété des Djinns.

Les Fkihs Soussis pratiquent une magie noire, très courante au Maroc, pour retrouver ces trésors. Mais pour cela ils ont besoin des enfants zouhris. Ils estiment en effet que la découverte et l’exhumation de ces trésors cachés nécessite une offrande au Djinn-gardien afin qu’il parte et abandonne le trésor. La cérémonie d’exhumation de trésors se déroule en présence de plusieurs escrocs qui viennent généralement avec un croquis indiquant la description du lieu du trésor. Les Fkihs marocains appellent l’emplacement du trésor du terme « takyéda ».

Commencent alors le rituel magique qu’ils appellent « taâzima ». C’est une sorte de pacte satanique entre le fkih et le diable. Le but est d’appeler le djinn gardien du lieu pour ensuite le chasser et avoir accès au trésor. Le rituel ce compose d’une série d’oraisons connues des seuls Fkihs Soussis. On prétend que ce sont les hébreux qui leur auraient apprises. Le djinn invoqué demande alors un enfant Zouhri en guise d’offrande. C’est à ce moment que les fkihs égorgent l’enfant sur le lieu du trésor imaginaire. La direction prise par l’écoulement du sang désigne l’emplacement exact du tél
Les légendes marocaines attestent de cette forme de sorcellerie. Ces « Fkihs Soussis » seraient tous originaires de la région de Souss, au Maroc. Dans les années soixante, beaucoup d’entre eux ont sillonné le sud-ouest et l’ouest de l’Algérie pour rechercher des trésors perdus. Les personnes âgées s’en souviennent encore et témoignent qu’on les appelait « ben-nas-nas ». Beaucoup de disparitions d’enfants avaient été signalées à cette époque, dont nombreux présentaient les caractéristiques des « enfants Zouhris ».

19 octobre 2022

Pandémie :la suite à venir... sachez que les mondialistes preparent une nouvelle pandémie.. organisée




Vers une potentielle propagation d'un virus de fièvre hémorragique à l'Homme : les experts en alerte


Le virus SHFV, virus de la fièvre hémorragique simienne est très virulent pour certaines espèces de singe et il présente toutes les capacités pour se transmettre à l'humain selon une étude scientifique. 

Les scientifiques ont mis en exergue la possibilité qu'un virus présent chez le singe puisse dans un avenir proche ou non infecter l'Homme.

En tous cas, il en a les caractéristiques, même si pour l'heure aucune transmission à l'humain n'a été constatée.

Il s'agit du virus SHFV, virus de la fièvre hémorragique simienne qui ressemble au niveau des symptômes à Ebola notamment et qui a des similitudes génétiques avec le VIH responsable du Sida, comme le rapporte Science et Vie.

Donc ce virus présente tous les ingrédients pour inquiéter en cas de propagation.

Un virus virulent
Ce virus infecte principalement les singes. Les scientifiques ont découvert des anticorps chez une espèce de singe, les Patas que l'on surnomme les singes pleureurs et qui vivent en Afrique

Mais ce qui inquiète les scientifiques c'est que ce virus est très virulent chez une autre espèce de singe, les macaques.

Car lorsqu'un macaque est infecté par le virus, il présente des symptômes très graves, très rapidement : fièvre, peau boursouflée et bleutée, sang noir dans les selles, puis hémorragies multiples... jusqu'à la mort, 10 à 15 jours après l'apparition des symptômes. 

Capacité d’infecter des cellules sanguines humaines

Des scientifiques de l'université du Colorado ont étudié ce virus de plus près. Et en le manipulant en laboratoire, ils ont démontré qu'il avait la capacité d'infecter des cellules sanguines humaines.

Il présente également de nombreuses caractéristiques avec le virus de l’immunodéficience simienne, qui a provoqué le VIH, le virus du Sida et notamment celui d'infecter les cellules immunitaires une fois dans le corps humain, se développer rapidement et ainsi empêcher toute défense de l'organisme et donc le détruire face à d'autres agents pathogènes en plus du sien.

Les chercheurs ont publié leurs travaux et les résultats dans la revue scientifique Cell le 30 septembre.

Même si les scientifiques américains restent rassurants pour le moment, ce virus pourrait donc être transmis à l'être humain et pourrait se propager. L'homme pourrait être infecté par contact direct avec un macaque ou par contact indirect.

Ils concluent tout de même leurs travaux par la nécessité de surveiller de très près ce virus et de développer des tests de manière préventive. 

"Étant donné qu'au moins trois artérivirus simiens distincts ont causé des infections mortelles chez des macaques captifs après changement d'hôte et que les humains sont immunologiquement naïfs à cette famille de virus, le développement de tests sérologiques pour la surveillance humaine devrait être une priorité."




UNE ÉTUDE RÉVÈLE QUE LA PROCHAINE PANDÉMIE POURRAIT PROVENIR DE LA FONTE DES GLACIERS

L'ennemi venu de l'intérieur. Selon une récente étude réalisée par le Dr Stéphane Aris-Brosou et ses collègues de l'université d'Ottawa au Canada, dont les conclusions sont exposées dans les colonnes du Guardian, la prochaine pandémie qui touchera l'humanité pourrait venir de la fonte des glaces, qui pourrait libérer des virus et des bactéries enfermées jusque-là dans les glaciers et le pergélisol. Ceux-ci pourraient s'attaquer à la faune locale.

"La seule chose dont nous pouvons être sûrs est qu'à mesure que les températures augmentent, le risque de fonte dans cet environnement particulier augmente. Cela conduira-t-il à des pandémies? Nous ne savons absolument pas", explique le Dr Aris-Brosou dans les colonnes du média britannique.

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16 octobre 2022

Résistance Catholique

Le blog de Jeanne Smits Nouvelles internationales de la culture de vie et de la culture de mort
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OCT
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Mgr Athanasius Schneider appelle à résister, dans la charité et dans l’Eglise, à “Traditionis custodes”, quitte à rejoindre la Fraternité Saint-Pie X (traduction intégrale de son entretien avec Michael Matt)

A l’occasion de la Conférence sur l’identité catholique organisée à Pittsburgh, Etats-Unis, par The Remnant, Mgr Athanasius Schneider a accordé à son directeur, Michael Matt, un long entretien pour évoquer la crise de l’Eglise, de la papauté et de la liturgie. Il a exhorté les fidèles à se battre pour la liturgie traditionnelle, mais dans la charité, en priant pour que le pape François se repente de la confusion qu’il a laissé grandir dans l’Eglise. Mgr Schneider a également exhorté les prêtres à défendre le trésor de la liturgie, mais en prenant garde de se placer toujours sous l’autorité d’un évêque, d’une communauté reconnue, voire de la Fraternité Saint-Pie X, pour ne pas partir en roue libre. Feuille de route de résistance d’une grande vigueur, mais marquée par l’esprit catholique : Mgr Schneider a souligné l’importance de tenir à la fois la vérité et la charité, et mis en garde contre la tentation de la colère, ou celle de quitter l’Eglise.

Lisez cet entretien que j’ai retranscrit et traduit à votre intention, il est magnifique ; Michael Matt pose de nombreuses questions qu’on aurait voulu poser et Mgr Schneider ne se dérobe devant aucune. Et partagez, en copiant ce lien !

C’est aussi le moment de lire son dernier livre que j’ai eu l’honneur de traduire, La Messe catholique, disponible ici.

Lisez cet entretien jusqu’au bout, il est plein d’espérance et de confiance en Dieu qui tient son Eglise « entre ses mains ». – J.S.

*

– Michael Matt. Nous avons eu de nombreuses discussions sur l’attitude à adopter, notamment en ce qui concerne les différences entre un prêtre, un évêque et les laïcs, face à la terrible situation que connaît l’église : une crise dans la hiérarchie, une crise au niveau du commandement. Je sais que vous avez fait part de vos préoccupations. Par exemple, au Kazakhstan, vous avez dit certaines choses avant l’arrivée du Saint-Père au sujet de la réunion [inter-religieuse, NdT] qui devait avoir lieu là-bas, et je me demande si vous pouvez peut-être commencer par expliquer à quoi vous pensiez lorsque vous avez fait ces déclarations à la presse au sujet des problèmes possibles de la visite et de la réunion avec le Saint-Père au Kazakhstan.

– Mgr Athanasius Schneider. J’ai considéré que c’était un devoir de ma conscience d’évêque que d’aborder un problème manifestement grave pour l’intégrité de la foi catholique et la vie de l’Eglise que constituent de telles rencontres interreligieuses, et que j’avais le devoir de l’aborder. Je l’ai donc fait, au nom de cette conscience, pour aider le pape à réfléchir plus profondément à ce problème et à le corriger à l’avenir. C’était là mon intention. En général, lorsque, en tant qu’évêque, je vois et constate un danger évident pour la pureté de la foi, de la morale ou de la liturgie, je dois intervenir – avec le respect qui s’impose, bien sûr, toujours sous une forme respectueuse, et dans une optique surnaturelle. Et j’ai donc également dit aux journalistes présents que nous autres évêques, ne sommes pas simplement des employés du Pape, telle n’est pas la structure divine de l’Eglise ; mais les évêques sont les frères du Pape, et faire une correction ou une admonestation est un geste fraternel de charité. Telle est toujours mon intention, faire cela comme un acte de charité envers le Pape.

– J’ai vu les titres, et bien sûr vous n’êtes pas responsable des titres que la presse mondiale a inventés après cet événement, où ils ont essayé de vous présenter comme un très grand critique du Saint-Père, et je crois que vous aviez déclaré à un moment donné que la charité vous demande de faire entendre votre voix. Pourriez-vous nous donner une bonne règle de base sur la façon de suivre notre conscience pour dire la vérité, même à l’autorité, sans pour autant violer la charité chrétienne ?

– Oui. D’abord nous devons savoir que l’Eglise, et nous-mêmes, ne sommes pas un parti politique. Nous sommes l’Eglise de Dieu ici sur terre, et l’Eglise de Dieu est une famille. Et donc avec cette attitude familiale, nous ne devons pas avoir peur d’être punis si nous élevons la voix. C’est ce qui se passe dans une dictature : lorsque vous êtes dans une dictature, tout le monde a peur d’élever la voix parce que les dirigeants de la dictature vous puniront sans prévenir. Mais cela ne devrait pas être l’atmosphère au sein de l’Eglise, et le Pape comme le Saint-Siège ne devraient pas donner l’impression qu’ils vont vous punir parce que vous avez élevé votre voix à cause de votre conscience. Ils doivent donc avoir, eux aussi, une vision surnaturelle de l’Eglise. Et comme vous l’avez déjà mentionné, lorsque nous faisons des corrections, des admonitions ou des appels, quel que soit le nom que vous leur donnez, ils doivent être motivés par la charité, sans quoi la démarche restera trop humaine et ne portera pas de fruits. L’Eglise, en effet, n’est pas une simple société humaine, et dans l’Eglise, seuls les actes de véritable charité surnaturelle porteront des fruits. Voilà qui est important : qu’est-ce qui portera des fruits durables pour le bénéfice authentique de l’Eglise ? C’est toujours cela qui devrait nous animer.

Quant à l’attitude des laïcs, elle est un peu différente de l’attitude des évêques. Les évêques sont membres du magistère, de l’office d’enseignement de l’Eglise, et ils sont membres du collège épiscopal, et par là, frères du Pape, qu’ils doivent aider, ensemble pasteurs, à conduire l’Eglise. Les laïcs sont également membres de l’Église. Ils ont leur dignité, et aussi la charge de défendre la foi à leur manière, en vertu des grâces du sacrement de la confirmation. Mais ils doivent toujours garder à l’esprit ce respect de l’autorité. Il faut toujours le faire avec respect, sinon cela peut dégénérer en simples émotions, passions, colère et ainsi de suite, et cela n’aidera personne en rien. Cela n’aidera personne, et ne restera toujours qu’une frustration. Et donc je suggère aux laïcs : oui, vous pouvez élever votre voix, et je vous en prie, faites-le alors que sévit cette terrible crise de l’Eglise. Vous devez écrire, mais faites-le, avec insistance bien sûr, clairement, sans peur, mais toujours, s’il vous plaît, en trouvant des formes de respect ; comme l’a dit saint Paul : pratiquez la vérité dans la charité. Il est plus facile pour l’être humain de choisir l’un des extrêmes. Le premier extrême, c’est la charité seulement : ou bien je ne parlerai pas parce que je ne suis qu’un subordonné le pape et les évêques se chargeront de tout dans l’Eglise ; ou bien je dois simplement obéir, aveuglément. Telle n’est pas la véritable attitude d’un catholique. Et l’autre extrême, c’est seulement la vérité, sans charité : cela va nuire, cela ne convaincra personne, et donc ce n’est pas la voie de Dieu : la voie de Dieu est la synthèse, et elle est plus difficile. Il est plus facile de vociférer et de les maudire, et ainsi de suite : ce n’est pas la voie de Dieu, jamais. Nous devons unir les deux choses. Donc, essayez d’élever la voix, je vous en prie !

Un Père de l’Eglise, saint Césaire d’Arles, au sud de la France, s’est adressé - ainsi aux laïcs Ve siècle dans une de ses homélies : « Venez nous voir, nous les évêques, et exigez de nous avec insistance que nous vous donnions la vraie et saine nourriture de la foi. Ne cessez de nous le demander, même si vous devez nous frapper. » Et il a donné l’exemple d’une vache avec son veau auquel la mère vache ne donne pas de lait : alors le veau vient, et avec sa tête il frappe la vache jusqu’à ce qu’elle lui donne du lait. Saint Césaire ajoutait : « C’est ce que vous, les fidèles laïcs, devez faire : aller voir le pasteur – je veux dire les évêques ou même le pape – et frappez-le. » Mais un tel coup de tête ne fait pas mal, il ne blesse pas, c’est seulement un coup léger, il ne blesse pas le corps de la vache – mais elle se rend compte qu’elle doit donner du lait. Et de même pour le pape et les évêques… Donc vous pouvez faire cela : élevez votre voix, et dites : « Nous en avons le droit, s’il vous plaît, Saint Père, donnez-nous le vrai lait pur et intégral de la foi catholique, de connaissance catholique. Nous en avons le droit. Nous sommes les enfants de l’Eglise. S’il vous plaît, n’enfermez pas ces trésors, et s’il vous plaît, parlez clairement et enseignez-nous », et ainsi de suite ; en ce sens, vous pouvez le faire.

– Je me rappelle qu’au cours de la préparation du synode sur l’Amazonie, vous et Son Éminence le Cardinal Burke aviez publié un document de huit pages mettant en garde contre certaines propositions hérétiques ou en tout cas problématiques dans le document de travail du Synode, ce qui, je pense, était très important. Si vous n’êtes pas catholique, mais simplement un journaliste à Rome, et que vous voyez un cardinal et un évêque évoquer la possibilité d’une hérésie au sein même d’un synode, comment éviter qu’une action aussi nécessaire que la vôtre nuise à l’institution de la papauté elle-même dans le monde moderne, où les gens ne lisent pas beaucoup et ne sont pas formés ? Nous devons parler comme vous le dites, nous devons parler avec respect, mais nous courons le risque de nuire à la papauté parce que le monde peut regarder la papauté et dire qu’évidemment elle ne jouit d’aucune protection, qu’il s’agit d’une l’institution humaine puisqu’elle peut même tomber dans l’hérésie. Quelle serait dès lors une bonne approche ?

– Oui, ce que vous évoquez là est un vrai problème, et nous devons le reconnaître, et comprendre que nous faisons face à un véritable cas rare dans toute l’histoire de l’Eglise. Nous devons le dire simplement : notre crise morale doctrinale actuelle – au sein de la papauté aujourd’hui, c’est bien une crise de la papauté, et bien sûr dans l’épiscopat – est telle qu’il s’en est rarement produit de cette manière au niveau doctrinal au cours des 2.000 ans de l’histoire de l’Eglise. Nous avons eu des crises de la papauté, plusieurs même, et même des crises d’immoralité très profondes, toujours d’ordre moral. Au Xe siècle, le saeculum obscurum, le style de vie immoral de certains papes du Xe siècle, disons, et évidemment plus tard celui des papes de la Renaissance, furent de grands scandales qui souillèrent la papauté, le Saint-Siège et la chaire de Pierre. Mais des crises de la doctrine… qu’un pape sème la confusion doctrinale, c’est bien plus grave que le fait qu’un pape mène sa vie personnelle de façon immorale ; une telle crise fait un plus grand tort car elle sape les fondements de la foi elle-même parmi le peuple de Dieu. Nous n’avons eu que de rares cas de cette confusion doctrinale qui s’est répandue du fait de l’attitude erronée d’un pape ; le premier fut celui de Liberius au IVe siècle lors de la crise arienne. Le pape Liberius céda, acceptant de signer une formule de foi ambiguë : ce n’était pas une formule hérétique directe, grâce à Dieu, mais une formule ambiguë. Mais l’ambiguïté entraîne toujours la confusion et, par conséquent, Liberius est devenu le premier pape de l’histoire de l’Eglise qui n’a pas été canonisé. Tous ses prédécesseurs depuis saint Pierre ont été canonisés, soit comme martyrs, soit comme confesseurs de la foi. Liberius a aussi abandonné saint Athanase et accepté de consentir à ce qu’il soit excommunié.

L’autre problème doctrinal est celui que nous avons eu au XIVe siècle – vous voyez combien c’est rare, du IVe siècle au XIVe, mille ans, il n’y a pas eu de problème doctrinal au Saint-Siège en tant que tel. Des problèmes moraux, ça oui, il y en a eu. C’est le pape Jean XXII qui a commencé à répandre dans son magistère ordinaire, ou quotidien ainsi que nous l’appelons, dans ses discours et homélies, une hérésie de facto, affirmant que les saints et les âmes qui ont été purifiés après le purgatoire ou qui étaient déjà purifiés ici-bas, n’avaient pas la vision béatifique, mais l’auraient seulement quand le Christ reviendrait pour le jugement dernier, et quand Dieu créerait un nouveau ciel et une nouvelle terre : il affirmait que c’est alors seulement qu’ils entreraient tous dans la vision béatifique. Cela est faux, Jésus a dit au Bon Larron : « Aujourd’hui tu seras avec moi au paradis. » Jean XXII a répandu cette idée et certains ont résisté, mais le clergé n’a pas résisté parce que chacun avait peur de compromettre sa carrière. Un seul cardinal a résisté au Pape. Un seul cardinal...

– C’étaient surtout des laïcs qui résistaient.

– Principalement des laïcs, et parmi les laïcs qui ont le plus résisté, il y avait le roi de France. Celui-ci a déclaré que c’était un enseignement erroné, que nous ne pouvions pas l’accepter, et l’université de la Sorbonne l’a également condamné. On raconte même – je ne sais pas si c’est vrai – on raconte que le roi de France de l’époque aurait dit que si le pape venait à Paris et ne se repentait pas de son enseignement erroné, il serait brûlé comme un hérétique. Je ne sais pas si c’est vrai...

– Le bon vieux temps ! 

– C’est ce qu’on raconte. Et en tout cas il est démontré que les laïcs se sont inquiétés de ce mauvais enseignement. Comment imaginer que les saints ne soient pas avec Dieu, ne contemplent pas Dieu ? En tout cas, et grâce à Dieu, le pape s’est repenti avant de mourir ; il a rétracté ses erreurs et a appelé le collège des cardinaux et s’est repenti.

– Puis-je vous interrompre pour une question. Lorsque Jean XXII est tombé dans l’hérésie et a même prêché l’hérésie, a-t-il perdu sa charge ?

– Non.

– Temporairement ?

– Non, ce n’était pas une hérésie formelle, vous savez, parce que l’Eglise n’avait pas encore proclamé comme un dogme de la foi que tous ceux qui sont justifiés entreront dans la vision béatifique de Dieu immédiatement. Cela n’était pas encore proclamé comme dogme de manière formelle. C’était dans les Saintes Ecritures bien sûr, et donc il n’y a pas de question à se poser pour savoir s’il était un hérétique, mais pour être un hérétique formel, il faut aussi l’obstination. Cette notion signifie que pour qu’une personne soit déclarée formellement hérétique, il doit y avoir de l’obstination.

– Persévérer dans l’hérésie...

– Persévérer après les admonitions et ainsi de suite : ce ne fut pas le cas. Peut-être était-il aussi obstiné : il a refusé, mais il s’est repenti, grâce à Dieu, et ensuite le cardinal qui l’avait admonesté a été élu son successeur, Benoît XII, lequel a proclamé formellement comme dogme de foi cette vérité que son prédécesseur sapait ou niait. Ce fut donc un de ces cas rares.
Le cas suivant, nous l’avons aujourd’hui. Après le XIVe siècle, nous avons maintenant, au XXIe siècle, la même chose, voire un cas plus grave que les deux cas précédents, mais Dieu interviendra comme Il est aussi intervenu dans les cas antérieurs. Nous devons faire notre travail pour admonester le pape avec persistance, et aussi prier pour lui. Je pense qu’il est important pour les laïcs, mais aussi pour les évêques, lorsqu’ils font des admonestations ou des appels, de toujours les accompagner de prières, et pas seulement de prières : je pense qu’il faut y ajouter des actes de réparation, parce que nous sommes une famille, nous sommes un corps. Quand un membre souffre, tous les autres membres souffrent. Quand la tête souffre – aujourd’hui c’est la tête de l’Eglise, la tête visible qui souffre, qui est en quelque sorte malade – alors nous le ressentons dans tout le corps. Notre tête traverse une maladie, une faiblesse, et nous devons l’aider, pour que le sang – la circulation surnaturelle des grâces dans le corps, le Corps mystique du Christ – atteigne ces parties malades de la tête, c’est-à-dire le Saint-Siège à notre époque. Nous devons les aider par des prières, et aussi par des actes de réparation.


– Je connais votre travail, et je vous ai vu au Kazakhstan, vous avez été très charitable envers le pape, l’aidant à voir les paysans du Kazakhstan et ainsi de suite. C’était un merveilleux exemple de ce nous sommes appelés à faire, je pense, et je suis curieux parce que c’est aussi important, tout aussi important, que lors de cet événement même, lorsqu’il était au Kazakhstan, vous ayez dit ce que vous avez dit quant aux dangers de ce genre de réunion – bien sûr, avec Mortalium animos, vous étiez largement soutenu par l’enseignement constant de l’Eglise. Beaucoup ont trouvé un grand réconfort dans le fait que vous ayez dit ce que vous avez dit, car si personne ne s’exprime, je pense qu’il y a une tentation de désespoir et de dépression, et de penser que l’Eglise a complètement déraillé. Je suppose que ma question est la suivante : il semble que le travail de prise de parole ne va pas pousser les gens hors de l’Eglise. Si nous parlons correctement selon vos recommandations, dans la charité mais avec intransigeance, je pense que cela aide les gens à rester dans l’Eglise. Cela correspond-il en quelque sorte à vos intentions ?

– Bien sûr. Nous ne pouvons pas quitter l’Eglise, nous sommes dans l’Eglise, nous sommes membres de l’Eglise, et lorsque l’Eglise souffre, et que le Saint-Siège est maintenant, dans une certaine mesure, occupé par des forces qui portent atteinte à la foi, qui sapent manifestement la foi, cela reste vrai. Mais c’est un phénomène temporaire, donc nous devons aussi voir de manière surnaturelle que l’Eglise est entre les mains de Dieu, entre les mains du Christ. Même lors de la plus grande tempête de la mer, lorsque Jésus est dans le bateau, endormi, mais dans le bateau, le bateau ne peut pas couler. Il faut avoir cette vision de l’indestructibilité de l’Eglise, et nous devons rester dans l’Eglise parce que nous n’avons pas d’autre endroit où aller ; nous ne devons pas créer une sorte de « notre église », ou une secte, ou une quelconque communauté indépendante : cela n’est pas catholique. Le catholique est toujours en union avec un pape et un évêque. Voilà ce qui est catholique. Même si nous devons, à regret, admonester le pape, ou lui adresser des appels et des corrections, il reste le pape, et nous continuerons à prier pour lui, nous continuerons même à l’aimer, peut-être même davantage, car il se trouve dans une situation pitoyable. Imaginez ce dont il devra répondre devant le Tribunal de Dieu – c’est effrayant ce dont il devra répondre pour avoir laissé dans l’Eglise un tel chaos, une telle confusion. Nous devons avoir vraiment pitié de son âme et l’aimer, aimer l’âme de François, prier pour lui, faire des sacrifices pour lui afin qu’il soit éclairé et reconnaisse les erreurs qu’il commet, comme Jean XXII a eu la grâce de se repentir avant de mourir. Ce serait une grande grâce : nous devons l’implorer pour le pape François et pour d’autres évêques qui sèment aussi la confusion dans l’Eglise.

Nous ne devons donc pas nous enfermer dans la colère, ou dire que désormais je n’aurai plus rien à voir avec ce pape, je n’aurai plus rien à voir avec cet évêque ; non, ce n’est pas l’attitude d’un catholique, c’est l’attitude d’un sectaire, en définitive, et nous devons éviter ces tentations. Nous devons continuer même si, dans certains cas, nous disons que nous ne pouvons pas obéir en ce moment au pape parce qu’il a émis ces commandements ou ces ordres qui, de toute évidence, sapent la foi, ou qui nous enlèvent le trésor de la liturgie ; elle est la liturgie de toute l’Eglise, non pas la sienne, mais celle de nos pères et de nos saints, donc nous y avons droit. Dans ces cas, même si nous désobéissons formellement, nous obéirons à l’église entière de tous les temps, et même, par une telle désobéissance formelle apparente, nous ferons honneur au Saint-Siège en gardant les trésors de la liturgie, qui est un trésor du Saint-Siège, mais qui est temporairement limité ou objet de discrimination de la part de ceux qui occupent actuellement de hautes fonctions au Saint-Siège.

Nous devons donc comprendre que le Saint-Siège est plus grand qu’un seul pape, et que tout cela est fait pour l’honneur du Saint-Siège et, en fin de compte, pour l’amour du Pape. Car lorsqu’un jour il comparaîtra devant le Tribunal de Dieu et que Dieu dira : « Parce que tu as donné ces ordres, tu as porté atteinte au bien spirituel de l’Eglise » ; et que le Seigneur dira au pape : « Parce que tu as interdit ou marginalisé et fait des discriminations à l’égard de la sainte liturgie des saints de tous les âges, ces véritables trésors, cela relève de ta responsabilité, et l’Eglise a perdu de nombreuses grâces parce que tu as confiné la liturgie des saints de tous les âges », alors le Seigneur lui montrera ceci : « Mais tu sais, pendant ton pontificat il y avait des groupes, des prêtres, qui ne t’ont pas obéi en collaborant à cette marginalisation de la liturgie, et ils ont néanmoins continué à célébrer la liturgie, et donc ta culpabilité peut être un peu diminuée, parce que sous ton pontificat il y avait encore des endroits où la liturgie de tous les âges était célébrée. » C’est seulement une imagination de ma part... Et donc nous dirons au Pape : « Saint-Père, même si nous vous désobéissons, nous le faisons par amour pour vous, pour le Saint-Siège, pour la liturgie de tous les saints, et ce sera pour vous, à l’heure de votre jugement, une consolation, car nous n’avons pas collaboré à vos ordres néfastes. »

– Votre Excellence, c’est magnifiquement dit, et je pensais à toutes les personnes qui nous contactent, jour après jour, des gens du monde entier qui regardent Remnant TV ou qui lisent notre journal : ce que vous venez de dire, j’aimerais le découper et l’envoyer aux prêtres qui se demandent ce qu’ils doivent faire dans le cadre de Traditionis custodes, car je pense qu’il est très important que les prêtres et les évêques réfléchissent vraiment à la situation des laïcs en ce moment ! Elle est tellement décourageante, parce que non seulement ils perdent leur messe en latin – je parle de pères et de mères avec sept, huit, neuf, dix jeunes enfants, qui ont fait 45 minutes, 50 minutes, une heure de route tous les dimanches, toutes les semaines pendant 25 ans, pour essayer d’élever leurs familles, sur plusieurs générations, et aujourd’hui même cette messe lointaine est supprimée par le pape sans aucune raison apparente qui puisse avoir un sens pour eux. Donc je pense que la désobéissance de ces prêtres qui ont la possibilité de continuer à offrir la messe traditionnelle en latin à ces beaux catholiques qui essaient simplement de rester fidèles, les aidera à rester dans l’Eglise.

– Exactement, et au cours de ces messes, même si elles ne sont pas formellement approuvées, ceci est toujours important : il faut prier pour le pape, François, prier pour l’évêque du diocèse, même à haute voix, avec une voix forte, pour qu’on voie que nous ne sommes pas schismatiques, que nous ne sommes pas une nouvelle secte ou autre, et que nous prions pour le pape. Et ainsi, nous l’aimons, mais nous ne pouvons pas, temporairement, suivre ses ordres préjudiciables, nuisibles.

En outre, ces prêtres doivent avoir un supérieur ; c’est très important. Ils ne peuvent pas être leur propre pape ou leur propre évêque : ce n’est pas catholique, tout simplement pas catholique. Cela ferait, avec le temps, dégénérer ce prêtre en une sorte de gourou. Nous en avons beaucoup d’exemples aujourd’hui, malheureusement, y compris dans le monde traditionnel : des prêtres qui sont complètement indépendants. Cela ne se peut pas. C’est contraire à l’esprit catholique. Un prêtre ne peut pas être indépendant. Il doit avoir un supérieur.

– Et s’il n’en a pas, que doit-il faire ?

– Il doit chercher un supérieur, il ne peut pas être indépendant : ce n’est pas catholique. Alors il doit aller dans une communauté, ou dans la Fraternité Saint-Pie X, ou s’affilier, pour avoir au moins un supérieur à qui il devra rendre des comptes. Un prêtre doit avoir un supérieur, sinon il commence à développer sa propre… qu’il est un pape, qu’il est un évêque, qu’il est tout ! Et c’est tellement dangereux. Alors cherchez, bien sûr, une communauté qui soit approuvée, même si cela doit être la Fraternité Saint-Pie X, qui est en partie approuvée par le Saint-Siège, grâce aux concessions que le Saint-Père leur a accordées. Alors il y aura bien une structure, une obéissance, une subordination. Ou dans des cas très rares, peut-être un évêque à la retraite, un évêque catholique à la retraite qui a encore des facultés, qui est en règle même s’il est à la retraite ; et le prêtre peut se soumettre à cet évêque pour recevoir de lui des ordres et rendre des comptes, de façon discrète et peut-être temporaire, jusqu’à ce que le Saint-Siège ait à nouveau ceux qui, à cette place, vont promouvoir et protéger la sainte tradition.

– Il est donc évidemment très important pour nous, un peu comme les chrétiens dans les catacombes d’autrefois, de nous réunir et d’avoir des discussions très sérieuses, car nous sommes dans un état d’urgence maintenant, dans le sens de ce que vous venez de dire. Comment allons-nous mener la discussion, et le rassemblement des prêtres et des évêques favorables ? La résolution de ce problème est extrêmement importante en ce moment, comme vous venez de le dire, nous devons avoir ces conversations plutôt que de nous rebeller, de réagir et de nous retrouver dans une situation problématique. L’année dernière, je crois que j’ai terminé notre entretien en vous posant une question au sujet des anges, car il est évident que les amis angéliques sont si importants en cette période sombre et je me demande si vous pourriez dire quelque chose... Je suis d’ailleurs frappé par le fait que la Sainte Vierge – de toute évidence, elle est la « personne à contacter » pour l’intercession de toute façon – comprend, elle qui est un être humain comme nous, ce que c’est que de perdre Jésus-Christ par la mort sur la croix, et aussi de perdre Pierre. Pendant cette période où elle s’est soudainement rendue compte que même Pierre, même l’apôtre numéro un du Christ, avait trahi son Fils avant de mourir sur la croix, et que son Fils était au courant de cette trahison, cela a dû profondément blesser son cœur, cela a dû être pour elle une chose très difficile. Pouvons-nous tirer quelque chose de ce que la Vierge a vécu à cet égard, pour savoir comment nous devons faire face au fait que nous perdons la messe et que nous perdons Pierre pour un temps ?

– C’est un très bon exemple que vous avez évoqué, oui, il est très profond. Je pense que nous devons demander à Notre Dame d’avoir son attitude, de ne pas désespérer ; quand elle a vu la trahison de Pierre, imaginez !, et que lui, Pierre, a même abandonné la croix – seul Jean est resté : un seul apôtre, et tous les apôtres ont fui – elle a continué à aimer les apôtres. Elle n’a pas réagi contre eux avec colère, elle a continué à prier pour eux, et puis elle a imploré à la Pentecôte, avec son Cœur Immaculé, la descente du Saint-Esprit sur les apôtres, elle était là. Voilà notre attitude : nous devons prier pour eux, les aimer même s’ils sont des traîtres, et faire réparation.

Vous avez également mentionné les anges. Nous sommes aujourd’hui dans un grand combat, une guerre, une guerre spirituelle entre les mauvais esprits et les bons esprits, les Anges ; entre la vérité et l’hérésie, l’erreur ; entre la sainteté et les péchés et les vices ; entre le caractère sacré de la liturgie et la désacralisation et les blasphèmes dans la liturgie. C’est un contraste, c’est un combat et dans ce combat, nous devons bien sûr invoquer les saints anges comme compagnons, nos co-combattants, nos co-équipiers. Et ils veulent nous aider. Nous devons donc construire une armée spirituelle avec les saints Anges, avec saint Michel-Archange, et les invoquer pour expulser les mauvais esprits présents, ainsi que l’influence des mauvais esprits dans nos communautés, dans l’Eglise, au Saint-Siège, dans les chancelleries et ainsi de suite. Nous devons les invoquer pour qu’ils envoient les anges car nous sommes une seule et même famille. De nombreux saints avaient cette attitude et cette pratique d’envoyer les anges gardiens à un autre ange gardien. Saint Padre Pio faisait souvent cela : il envoyait son saint ange aux autres saints anges de telle personne qui devait faire un travail important. Nous pouvons donc envoyer nos saints anges à l’ange gardien du pape ou de l’évêque, pour le renforcer, pour que l’ange gardien du pape puisse mieux influencer, pour que le pape soit ouvert et entende la voix de son ange gardien – de ses anges gardiens ! Car je pense que les papes reçoivent des anges spéciaux en plus de leur propre ange gardien, et les évêques aussi. Donc nous devons collaborer, faire une stratégie avec les Saints Anges.

Vous savez qu’aujourd’hui, dans le monde, dans et à l’intérieur de l’Eglise, au sein même de l’Eglise, les forces du mal sont les maîtres de la stratégie ; nous devons nous aussi élaborer des stratégies, mais des stratégies saintes, pas des stratégies du mal. Donc, nous devons envoyer les anges et les invoquer et établir ces stratégies avec les saints carburants dont nous disposons, et Dieu, avec ceux-ci, et avec nos saints protecteurs et aides, interviendra, et le temps viendra. Nous devons simplement faire confiance et faire ce que nous pouvons ; et même si nous semons dans les larmes, Dieu nous donnera à nouveau une récolte, en son temps. Que devons-nous faire ? Ce que nous pouvons pour rester fidèles à la foi catholique, pour mener une vie vertueuse, avec la charité toujours pour protéger la foi, pour être des défenseurs de la foi, pour être des apologètes aussi : telle est notre mission. Nous devons accroître notre mission en tant qu’Église militante, faire grandir notre conscience, et nous rappeler que nous sommes ensemble une grande famille ; être toujours conscients et convaincus de ce que nous sommes les vainqueurs. La foi catholique gagnera malgré cette énorme, cette extraordinaire crise de la papauté à notre époque, elle gagnera.

– Merci beaucoup, Votre Excellence. Je termine cette interview en vous confessant qu’en tant que laïc et en regardant ce qui arrive à l’Eglise, céder à la colère est très, très facile, et j’y suis très porté. Je pense qu’il y a beaucoup de gens qui sont très frustrés et très découragés par ce qui se passe aux plus hauts niveaux de l’Eglise, et j’apprécie vos constantes orientations et votre exemple sur la façon dont nous devons, comme vous le dites, nous assurer que la stratégie, la résistance, l’admonestation, peu importe le nom qu’on lui donne, porte de bons fruits. Je pense que nous avons tous besoin qu’on nous le fasse comprendre, car nous risquons de nous mettre en colère, de perdre les pédales et de nuire à la cause du Christ. J’apprécie vraiment que vous soyez venu à la Conférence sur l’identité catholique pour nous rappeler comment nous battre comme des guerriers : une opposition loyale, mais des guerriers de Jésus-Christ.

– Alors, que Dieu vous bénisse, ainsi que tous vos amis et tous ceux qui sont avec nous dans leur cœur – et un cœur aimant – faisant le travail et œuvrant pour le vrai renouveau de l’Église, de notre sainte Mère, l’Église.

Propos recueillis par Michael Matt.

© leblogdejeannesmits pour la traduction.


• Pour approfondir le sens de la messe avec Mgr Athanasius Schneider, rien de mieux que son dernier livre, La Messe catholique, que j’ai eu le grand honneur de traduire. Je gage qu’il vous fera encore davantage aimer la messe, et en particulier la messe traditionnelle. A découvrir absolument ! On peut se le procurer ici via ce blog.







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Publié il y a Yesterday par Jeanne Smits
 
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08 octobre 2022

Pandemie 1.0 ou Assassinat de masse ?

Quand les capillaires des poumons sont bouchés par les micro-thromboses
générés par la proteine Spike
envoyer par intubation de force de l'oxygène sous pression est IDIOT et DANGEREUX
Cela ne peux PAS passer dans le sang puisque c’est bouché !
Le seul traitement efficace : l'oxygénation extra-corporelle ECMO
Mais il n’y a QUE 300 machines en France
Je l'ai signalé en vain : voir mes tweet Mars/Avril 2020
Seulement 300 machines d'oxygénation extra-corporelle dans toute la France
3000 ou + auraient pu sauver des dizaines de milliers de vies !
Personne ne parle de ce scandale, SILENCE TOTAL DEPUIS 2,5 ans !
Une honte !
Internet a de la mémoire ....
https://michaelpsenger.substack.com/p/an-estimated-30000-americans-were?post_id=76502513





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An Estimated 30,000 Americans Were Killed by Ventilators & Iatrogenesis in April 2020
Reexamining excess deaths during peak lockdown

Michael P Senger
Oct 5
137
102

To date, we still don’t have especially good studies on the actual causes of excess deaths by state and country when the world first went into lockdown in spring 2020.

For political reasons, these deaths were all generally been lumped together as “Covid deaths,” but this coding was appallingly sloppy. According to the World Health Organization’s initial coding guidance, if a decedent had either tested positive—using a PCR test later confirmed by the New York Times to have a false positive rate over 85%—or been in contact with anyone who had within several weeks prior to their death, then the death should be classified as a “Covid death.” This enormous number of “Covid deaths” was obviously belied by the fact that many places reporting those “Covid deaths,” such as Maine, actually had no excess deaths to speak of.

Thus, this article reexamines data from the US CDC on all-cause excess deaths by state during peak lockdown in April 2020 using the information we now know to determine what actually caused them.

This examination concludes that, contrary to popular belief, there was no uniquely deadly strain or variant emanating out of New York in spring 2020; this is clear from the fact that several states close to New York such as Vermont, New Hampshire, and Maine experienced little to no excess deaths during that time period.

On the contrary, over 30,000 Americans appear to have been killed by mechanical ventilators or other forms of medical iatrogenesis throughout April 2020, primarily in the area around New York.

This result is not altogether surprising, as subsequent studies revealed a 97.2% mortality rate among those over age 65 who were put on mechanical ventilators in accordance with the initial guidance from the WHO—as opposed to a 26.6% mortality rate among those over age 65 who weren’t put on mechanical ventilators—before a grassroots campaign put a stop to the practice by the beginning of May 2020.

As one doctor later told the Wall Street Journal, “We were intubating sick patients very early. Not for the patients’ benefit, but in order to control the epidemic… That felt awful.”

To put this in perspective, patients over age 65 were more than 26 times as likely to survive if they were not placed on mechanical ventilators.


Weekly Excess Deaths by State in April 2020
Below are all-cause excess deaths and percentage of all-cause excess deaths per capita (“Percent Excess Estimate”) by state for each week of April 2020. All data used in this examination is obtained from “National and State Estimates of Excess Deaths,” available on the US CDC website at “Excess Deaths Associated with COVID-19.”

(Note: Although many of these hospitalizations and deaths may have actually occurred in March 2020, due to time lag in reporting, the vast majority were recorded in April 2020. Thus, April 2020 provides the most consistent and robust data set. After April 2020, excess deaths taper off significantly.)


The first pattern that emerges from this data is a clear correlation between population density particularly in low-income areas, cold weather, and excess deaths per capita.

For example, percent excess deaths were high in Michigan and Illinois, both of which are cold states with fairly dense and relatively poor urban centers. Percent excess deaths were likewise high in Louisiana, a warm but especially poor and dense state. Percent excess deaths were also somewhat high in Wyoming, a sparse but very cold state. By contrast, percent excess deaths were relatively low in California and Florida, both of which are somewhat dense but also warm and relatively rich states.

A clear cluster forms at the top of the chart in the area around New York City, with New York, New Jersey, Connecticut, and Massachusetts generally experiencing the greatest percentages of excess deaths per capita for each week of April 2020. To be sure, each of these four states is a cold state with dense low-income areas, which goes a long way to account for their high excess deaths. However, outside of those four states, excess deaths per capita fall into a more normal range.

It may be tempting, therefore, to conclude that a particularly deadly strain or variant emerged around March 2020 in New York and began emanating from there, which was generally the mainstream narrative at the time.

However, the idea that a particularly deadly strain or variant began emanating from New York in March 2020 is belied by the fact that states like Vermont and New Hampshire, which are both very close to New York, had some of the lowest percentages of excess deaths of any states. Even more remarkably, Maine is very close to New York and had virtually no excess deaths to speak of throughout April 2020.

These counterexamples of Vermont, New Hampshire, and Maine, each of which is very close to New York but experienced few if any excess deaths in spring 2020, strongly refute the notion that a particularly deadly virus began spreading from New York in March 2020. This is also in line with the many studies that have now shown Covid actually began spreading undetected all over the world by fall 2019 at the very latest.

Explaining Outsized Excess Deaths in NY, NJ, CT, and MA in April 2020
If Vermont, New Hampshire, and Maine belie the notion that a supervirus emanated from New York in March 2020, then what may account for the particularly high excess deaths in New York, New Jersey, Connecticut, and Massachusetts in April 2020?

The answer is that the area around New York experienced a particular hysteria for the use of mechanical ventilators in spring 2020 to an extent that other states did not. Although no one has yet collected data on just how many patients were placed on mechanical ventilators in spring 2020, we can get a sense for the level of this hysteria from the hundreds of headlines advocating mechanical ventilators that sprung up around that time.

For example, Google yields hundreds of results for the query “New York mechanical ventilators 2020.” A sample of the hundreds of headlines are ones such as: “NY may need 24,000 more ventilators to fight COVID-19. Here’s how it could get them,” “Which coronavirus patients will get life-saving ventilators? Guidelines show how hospitals in NYC, US will decide,” “New York City Needs 400 Ventilators by Sunday, de Blasio Says,” “Amid Ongoing COVID-19 Pandemic, Governor Cuomo Announces 1,000 Ventilators Donated to New York State,” “A New York hospital is treating two patients on a device intended for one.”

Likewise, Google yields hundreds of results for the query “New Jersey mechanical ventilators 2020.” A sample of some of these headlines include: “New Jersey hospitals scrambling for more ventilators as coronavirus cases surge,” “Why Ventilators Are Critical and How NJ Is Preparing for a Possible Shortage,” “New Jersey officials planning for possibility of rationing ventilators,” “There could be a shortage of lifesaving equipment in New Jersey. Who decides who gets it?”

Google also yields many results for the query “Massachusetts mechanical ventilators 2020,” such as: “Massachusetts hospitals scramble to get more ventilators before deluge of coronavirus patients,” “Mass. Delegation Urges FEMA to Immediately Release Enough Ventilators from the Strategic National Stockpile to Massachusetts as Hospitals Prepare for Surge,” “Facing COVID-19 Surge, Massachusetts Is Short 1,300 Ventilators Baker Requested.”

This phenomenon was not nearly as pronounced in other states. Compared to the many hundreds of results for New York and New Jersey, Google yields relatively few results for the query “Michigan mechanical ventilators 2020.” Likewise, Google yields relatively few results for “California mechanical ventilators 2020,” “Texas mechanical ventilators 2020,” or “Florida mechanical ventilators 2020,” despite the fact that each of these latter states is larger than New York by population.

Given we now know that patients over age 65 were more than 26 times as likely to survive if they were not placed on mechanical ventilators, it’s not hard to see how this hysteria for mechanical ventilators in the New York area accounted for the particularly high excess death rates in that region.

Additionally, because the neighboring states of Vermont, New Hampshire, and Maine experienced little to no excess deaths during this time period, the overuse of mechanical ventilators and other medical iatrogenesis in spring 2020 provides a far more robust explanation for the particularly high rates of excess deaths in the New York area than does a particularly deadly strain or variant.

How Many Were Killed by Mechanical Ventilators?
So just how many people were killed by the overuse of mechanical ventilators and other iatrogenesis in spring 2020? Unfortunately, no one has yet seriously answered that question. However, we can form a conservative estimate based on the data above by using the percentage of excess deaths in a comparable state that did not experience as much ventilator hysteria.

As mentioned, outside of the New York area, Michigan also experienced a high percentage of excess deaths per capita in April 2020. Michigan is even colder than New York and New Jersey in terms of its climate, and its low-income urban centers are even more dense, both of which were primary factors correlating with excess deaths in spring 2020. Like New York and New Jersey, Michigan also had a strict lockdown at that time.

However, Michigan did not experience nearly the same level of hysteria for mechanical ventilators as did the New York area, and Michigan’s rate of excess deaths, while high, was more in line with that of other states.

Thus, we can assume that if New York, New Jersey, Connecticut, and Massachusetts had not engaged in ventilator hysteria, then their percentages of excess deaths per capita would have been more similar to that of Michigan.

Accordingly, below, I’ve calculated the number of excess deaths that New York, New Jersey, Connecticut, and Massachusetts would have experienced for each week if they’d had the same percentage of excess deaths as Michigan.


By subtracting the number of excess deaths that each state would have experienced if their excess death rate had been the same as that of Michigan from the number of excess deaths they actually experienced each week, we can see that in total, during April 2020, approximately 17,289 deaths in New York City, 7,347 deaths in New Jersey, 803 deaths in Massachusetts, 788 deaths in Connecticut, and 3,725 deaths in New York outside New York City were attributable to the overuse of mechanical ventilators or other iatrogenesis.

All told, this data indicates that some 30,000 patients in New York, New Jersey, Connecticut, and Massachusetts were killed by mechanical ventilators or other medical iatrogenesis in April 2020.

This is, of course, a very conservative way of estimating the number of patients killed by ventilators and iatrogenesis during this timeframe. To be sure, some unknown number of patients were put on ventilators in Michigan and other states as well. Thus, the true number of Americans killed by mechanical ventilators and other iatrogenesis in April 2020 is likely higher than 30,000.

While this methodology may be simple, it has proven accurate in the past. For example, my calculation that approximately 200,000 Americans had been killed by lockdowns and Covid mandates by comparing the rate of excess deaths in America to that of Sweden was subsequently borne out in a study by the National Bureau of Economic Research.

In conclusion, low-income population density, cold weather, and the overuse of mechanical ventilators were all strong correlates with excess deaths in spring 2020. The popular belief that a particularly deadly strain or variant emanated out of New York in March 2020 is belied by the absence of excess deaths in Vermont, New Hampshire, and Maine. Rather, the outsized number of excess deaths in the area around New York is better explained by the particular hysteria in that region for mechanical ventilators which decreased the survival rate for patients over age 65 by 26-fold. Some 30,000 patients in New York, New Jersey, Connecticut, and Massachusetts appear to have been killed by mechanical ventilators or other medical iatrogenesis in April 2020.

The importance of further study into the actual causes of excess deaths in spring 2020 and the source of the guidance that led to them can’t be overstated. The legal protections afforded to the WHO by virtue of its status as an international governing body and to China by virtue of its status as a globally-connected totalitarian dictatorship make it uniquely difficult to bring class action lawsuits over this deadly initial Covid guidance or to shed light on it. However, given the sheer number of Americans who were killed by this guidance, it’s worth asking whether this is really a cost of doing business that we can continue to afford.

Michael P Senger is an attorney and author of Snake Oil: How Xi Jinping Shut Down the World. Want to support my work? Get the book. Already got the book? Leave a quick review.

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Bill Rice, Jr.
Writes Bill Rice Jr.'s Newsletter
Oct 5
·
edited Oct 5
Liked by Michael P Senger
Big and Important story here. Really, this is a massive scandal. When we talk about "crimes against humanity," 30,000 unnecessary deaths qualifies. Thanks for your research. I actually think your findings tie into my research into "early spread." One argument often cited to debunk "early spread" is that it wasn't happening because we didn't see all the deaths in, say, January 2020, that we saw in April 2020. Well, your evidence strongly suggests that most of these spikes in deaths probably didn't have anything to do with a new virus. Instead, they had everything to do with mass-panic and massive use of awful and toxic medical protocols in hospitals. Keep up the good work!

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Janet
Oct 5
Liked by Michael P Senger
My SIL (over 60) barely survived the vent and remdisivir. Covid wouldn’t have killed her but the vent and run-death-is-near almost did.

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01 octobre 2022

Discours de Vladimir Poutine



Discours de VVP - 30 septembre 2022

30 septembre 2022 par Actualités mondiales & françaises


Extraits les plus pertinents.

 

 



L'Occident est prêt à tout outrepasser pour préserver le système néocolonial qui lui permet de parasiter, de piller le monde par la puissance du dollar et des diktats technologiques, pour extraire sa source de prospérité non méritée, la rente de l'hégémonie.

 Le maintien de cette rente est leur motivation clé, authentique et absolument intéressée. C'est pourquoi la suppression totale de toute souveraineté est dans leur intérêt. D'où leur agression envers les États indépendants, envers les valeurs et cultures traditionnelles qui forment les origines de l'Humanité, les tentatives de saper les processus internationaux et rassemblements d’États échappant à leur contrôle, les nouvelles monnaies mondiales et les centres de développement technologique qui leur font concurrence. Il est essentiel pour eux que tous les pays abandonnent leur souveraineté aux États-Unis.


Les élites dirigeantes de certains États acceptent volontairement de le faire, acceptent volontairement de devenir vassales ; d'autres sont soudoyés, intimidés. Et si cela ne fonctionne pas, ils détruisent des États entiers, laissant derrière eux des catastrophes humanitaires, des ruines, des millions d'Êtres Humains ruinés et mutilés, des enclaves terroristes, des zones de catastrophe sociale, des protectorats, des colonies et des semi-colonies. Ils s'en moquent tant qu'ils obtiennent leur propre avantage.

 
Je tiens à le souligner une fois de plus : c'est précisément dans la cupidité, dans l'intention de préserver son pouvoir illimité, que se trouvent les véritables raisons de la guerre hybride que « l'Occident collectif » mène contre la Russie. Ils ne nous souhaitent pas la liberté, mais ils veulent nous voir comme une colonie. Ils ne veulent pas une coopération égale, mais ils veulent nous voler. Ils veulent nous voir non pas comme une société libre, mais comme une foule d'esclaves sans âme.
 
 
Pour eux, une menace directe est représentée par notre pensée et notre philosophie, et donc ils cherchent à écraser nos philosophes. Notre culture et notre art sont un danger pour eux, alors ils essaient de les interdire. Notre développement et notre prospérité sont également une menace pour eux, car la concurrence s'intensifie. Ils n'ont pas du tout besoin de la Russie, mais nous, nous avons besoin de notre Russie.
 
L'Occident compte sur l'impunité pour s'en tirer. En fait, tout s'est bien passé jusqu'à présent. Les accords dans le domaine de la sécurité stratégique vont à la poubelle ; les accords conclus au plus haut niveau politique sont déclarés faux ; les promesses fermes de ne pas étendre l'OTAN à l'est, dès que nos anciens dirigeants y ont adhéré, se sont transformées en une sale tromperie ; les traités sur la défense antimissile et les missiles à portée intermédiaire et de courte portée ont été unilatéralement rompus sous des prétextes farfelus.

Tout ce que nous entendons de toutes parts, c'est que l'Occident défend l'ordre fondé sur des règles. D'où viennent-elles ? Qui a même vu ces règles? Qui les a acceptées ? Écoutez, ce n'est qu'une sorte d'absurdité, une tromperie pure, des normes au double sens, ou au triple sens ! C'est simplement conçu pour les imbéciles.
 
 

La Russie est une grande puissance millénaire, un pays-civilisation, et ne vivra pas selon de telles règles fausses et truquées.

 

 
C'est le soi-disant Occident qui a piétiné le principe de l'inviolabilité des frontières, et maintenant il décide à sa guise qui a le droit à l'autodétermination et qui ne l'a pas, qui n'en est pas digne. Pourquoi ils décident ainsi, qui leur a donné un tel droit ? On ne sait pas bien.
 
C'est pourquoi le choix des habitants de Crimée, de Sébastopol, de Donetsk, de Lougansk, de Zaporozhye et de Kherson provoque chez eux une colère sauvage.
 
 Cet Occident n'a aucun droit moral de l'évaluer, même de bégayer sur la liberté de la démocratie. Non, il n'y a jamais été autorisé !
 
Les élites occidentales nient la souveraineté nationale, mais aussi le droit international. Leur hégémonie a un caractère prononcé de totalitarisme, de despotisme et d'apartheid. Ils divisent effrontément le monde en leurs vassaux, en pays soi-disant civilisés d'un côté ; et de l'autre, tous les autres, qui, selon le plan des racistes occidentaux d'aujourd'hui, devraient faire partie d'une liste des barbares et de sauvages. Les fausses étiquettes "pays voyou", "régime autoritaire" sont déjà prêtes, elles stigmatisent des peuples et des États entiers, et il n'y a là rien de nouveau. Les élites occidentales sont ce qu'elles étaient et elles le sont restées : colonialistes. Ils discriminent, divisent les peuples.

Nous n'avons jamais accepté et n'accepterons jamais un tel nationalisme politique et un tel racisme. Et qu'est-ce que la russophobie, sinon le racisme, qui se répand maintenant dans le monde entier ? Qu'est-ce, sinon le racisme, que la conviction péremptoire de l'Occident que sa civilisation, sa culture néolibérale, serait un modèle incontestable pour le monde entier ? "Celui qui n'est pas avec nous est contre nous." Cela semble même étrange.

 

Même la repentance pour leurs propres crimes historiques est déplacée. Ils exigent aux citoyens de leurs propres pays et à ceux d'autres peuples, à avouer ce dont pourquoi ils n'ont rien à voir du tout, par exemple, à propos de la période de la colonisation et des conquêtes.
Il convient de rappeler à l'Occident qu'il a commencé sa politique coloniale au Moyen Âge, puis a suivi la traite mondiale des esclaves, le génocide des tribus indiennes en Amérique, le pillage de l'Inde, de l'Afrique, les guerres de l'Angleterre et de la France contre la Chine, à la suite de quoi ils l'ont contrainte à ouvrir ses ports au commerce de l'opium. Ce qu'ils faisaient, c'était rendre des peuples entiers accros aux drogues, exterminer délibérément des groupes ethniques entiers pour prendre possession de leurs terres et de leurs ressources, organiser une véritable chasse aux gens comme aux animaux. C'est contraire à la nature humaine, à la vérité, à la liberté et à la justice.
Et nous, nous sommes fiers qu'au XXe siècle, c'est notre pays qui a dirigé le mouvement anticolonial, qui a ouvert des possibilités à de nombreux peuples du monde de se développer afin de réduire la pauvreté et les inégalités, de vaincre la faim et la maladie.
Je souligne que l'une des raisons de la russophobie, la méchanceté non dissimulée de ces élites occidentales envers la Russie, est précisément que nous ne nous sommes pas laissés voler pendant la période des conquêtes coloniales.

On sait que des plans d'interventions en Russie ont été élaborés à plusieurs reprises, ils ont essayé d'utiliser le temps des troubles au début du XVIIe siècle et la période de bouleversements après 1917. Cela a échoué. L'Occident a néanmoins réussi à s'emparer des richesses de la Russie à la fin du XXe siècle, lorsque l'État a été détruit. Ensuite, nous avons été appelés à la fois amis et partenaires, mais en fait, ils nous ont traités comme une colonie, des milliards de dollars ont été détournés de notre pays dans le cadre de divers stratagèmes. Nous nous souvenons tous de tout, nous n'avons rien oublié.
Les pays occidentaux répètent depuis des siècles qu'ils apportent la liberté et la démocratie aux autres peuples. Tout est exactement le contraire : au lieu de démocratie, ils apportent la répression et l'exploitation ; au lieu de la liberté, c'est l'esclavage et la violence.
 

 L'ensemble de l'ordre mondial unipolaire est intrinsèquement anti-démocratique et non libre, il est trompeur et hypocrite de bout en bout.

 

Les États-Unis sont le seul pays au monde à avoir utilisé deux fois l'arme nucléaire, détruisant les villes japonaises d'Hiroshima et de Nagasaki. Soit dit en passant, ils ont créé un précédent.
Permettez-moi également de vous rappeler que les États-Unis, avec les Britanniques, ont transformé Dresde, Hambourg, Cologne et de nombreuses autres villes allemandes en ruines sans aucune nécessité militaire pendant la Seconde Guerre mondiale. Et cela a été fait avec défi, sans aucune, je le répète, nécessité militaire. Il n'y avait qu'un seul but : tout comme dans le cas des bombardements nucléaires au Japon, intimider à la fois notre pays et le monde entier.
Les États-Unis ont laissé une trace terrible dans la mémoire des peuples de Corée et du Vietnam avec des bombardements barbares, un tapis de bombes, l'utilisation du napalm et des armes chimiques.
Jusqu'à présent, ils occupent l'Allemagne, le Japon, la République de Corée et d'autres pays, tout en les qualifiant cyniquement d'alliés égaux. Écoutez, je me demande quel genre d'alliance est-ce ? Le monde entier sait que les dirigeants de ces pays sont surveillés, les premières personnes de ces États se voient installer des appareils d'écoute non seulement dans leurs bureaux, mais aussi dans leurs locaux résidentiels. C'est vraiment dommage. C'est une honte, à la fois pour ceux qui font cela, et pour ceux qui, comme des esclaves, avalent silencieusement et docilement cette grossièreté.

Ils qualifient de solidarité euro-atlantique les ordres et les cris grossiers et insultants adressés à leurs vassaux ; ils développent des armes biologiques, font des expériences sur des êtres vivants, y compris en Ukraine.
 

C'est avec leur politique destructrice, leurs guerres et leurs vols qu'ils ont provoqué la poussée colossale actuelle des flux migratoires. Des millions de personnes souffrent de privations, d'abus, meurent par milliers, essayant d'accéder à l'Europe.

 

Maintenant, ils exportent du blé d'Ukraine. Où va-t-il sous prétexte d'"assurer la sécurité alimentaire des pays les plus pauvres du monde" ? Où va-t-il ? Tout va aux pays européens. Seuls 5 % sont allés aux pays les plus pauvres du monde. Encore une fois, une autre escroquerie et pure tromperie.
L'élite américaine, en fait, utilise la tragédie de ces gens pour affaiblir leurs concurrents, pour détruire les États-nations. Cela s'applique aussi à l'Europe, cela s'applique aussi à l'identité de la France, de l'Italie, de l'Espagne et d'autres pays avec une longue histoire.
 
Washington exige de plus en plus de sanctions contre la Russie, et la plupart des politiciens européens sont docilement d'accord avec cela. Ils comprennent clairement que les États-Unis, poussant l'UE à renoncer complètement aux vecteurs énergétiques et autres ressources russes, conduisent quasiment à la désindustrialisation de l'Europe, à la prise de contrôle complète du marché européen, ils comprennent tout, ces élites européennes comprennent tout, mais elles préfèrent servir les intérêts des autres. Ce n'est plus de la servilité, mais une trahison directe de leurs peuples. Mais que Dieu les bénisse, c'est leur affaire.
 
Mais les sanctions ne suffisent pas aux Anglo-Saxons, ils sont passés au sabotage, incroyable, mais vrai : après avoir organisé des explosions sur les gazoducs internationaux Nord Stream, qui longent le fond de la mer Baltique, ils ont commencé à détruire les infrastructures énergétiques paneuropéennes. C'est clair pour tous ceux qui en bénéficient. C'est celui qui en profite qui l'a fait, bien sûr.
Tous les États qui possèdent ou cherchent à posséder une véritable souveraineté stratégique et qui sont capables de défier l'hégémonie occidentale sont automatiquement inclus dans la catégorie des ennemis.

C'est sur ces principes que sont construites les doctrines militaires des USA et de l'OTAN, n'exigeant rien de moins qu'une domination totale. Les élites occidentales présentent leurs plans néocoloniaux hypocrites, avec un semblant de paix, elles parlent d'une sorte d'endiguement, et un mot aussi rusé navigue d'une stratégie à l'autre, mais, en fait, cela ne signifie qu'une seule chose : saper tous les centres de développement souverains.
On a déjà entendu parler du confinement de la Russie, de la Chine, de l'Iran. Je crois que d'autres pays d'Asie, d'Amérique latine, d'Afrique, du Proche-Orient, ainsi que les partenaires et alliés actuels des États-Unis, sont les suivants. Nous savons qu'ils s'en prennent à tout ce qu'ils n'aiment pas : ils imposent des sanctions à leurs propres alliés. D'abord contre une banque, puis contre une autre ; tantôt contre une entreprise, tantôt contre une autre. C'est la même pratique, et elle va se développer. Ils ciblent tout le monde.
 
En lançant une guerre éclair des sanctions contre la Russie, ils ont cru qu'une fois de plus ils pourraient construire un monde entier sous leurs ordres. Mais, en fin de compte, une perspective aussi rose n'excite pas tout le monde. A part peut-être des masochistes politiques aggravés ou des admirateurs de formes non traditionnelles de relations internationales ? La plupart des États refusent de saluer cela et choisissent une voie raisonnable de coopération avec la Russie.
 
L'Occident ne s'attendait manifestement pas à une telle résistance de leur part. Ils se sont juste habitués à agir selon un schéma, à tout prendre avec impudence, chantage, corruption, intimidation, et à se convaincre que ces méthodes fonctionneront pour toujours, comme si elles étaient sclérosées et figées.
Une telle confiance en soi est le produit direct, non seulement du concept notoire de leur propre exclusivité - même si cela, bien sûr, est tout simplement surprenant - mais aussi d'une véritable soif d'information en Occident.
 

 Ils ont noyé la vérité dans un océan de mythes, d'illusions et de faux, utilisant une propagande extrêmement agressive, mentant imprudemment, comme Goebbels. Plus le mensonge est incroyable, plus vite ils y croiront : c'est ainsi qu'ils agissent, selon ce principe.


Mais les gens ne peuvent pas être nourris avec des dollars et des euros imprimés. Impossible de se nourrir avec ces bouts de papier. Il il est également impossible de chauffer un foyer avec la capitalisation virtuelle et exagérée des réseaux sociaux occidentaux. Tout cela est important, certes, mais ce qui vient d'être dit n'en est pas moins important : vous ne pouvez nourrir personne avec du papier-monnaie, vous avez besoin de nourriture, et vous ne réchaufferez personne non plus avec des capitalisations exagérées, les produits énergétiques sont nécessaires.
 
Par conséquent, les politiciens européens doivent convaincre leurs concitoyens de manger moins, de se laver moins souvent et de s'habiller plus chaudement à la maison. Et ceux qui commencent à poser des questions justes "mais pourquoi en est-il ainsi?", sont immédiatement déclarés ennemis, extrémistes et radicaux. Ils tournent leurs poings vers la Russie, ils disent : c'est là qu'est la source de tous vos ennuis. Ils mentent à nouveau.
 
Qu'est-ce que je veux souligner ? Il y a tout lieu de croire que les élites occidentales ne vont pas chercher de solutions constructives à la crise alimentaire et énergétique mondiale, qui a surgi par leur faute, précisément par leur faute, à la suite de leurs nombreuses années de politique, bien avant notre opération militaire en Ukraine, dans le Donbass.
 Ils n'entendent pas résoudre les problèmes d'injustice et d'inégalité. On craint qu'ils ne soient prêts à utiliser d'autres recettes qui leur sont familières.
Et ici, il convient de rappeler que l'Occident est sorti des contradictions du début du XXe siècle par la Première Guerre mondiale. Les profits de la Seconde Guerre mondiale ont permis aux États-Unis de surmonter enfin les conséquences de la Grande Dépression et de devenir la plus grande économie du monde, d'imposer à la planète la puissance du dollar comme monnaie de réserve mondiale. Et la crise tardive des années 80 du siècle dernier, s'est aggravée : l'Occident l'a largement surmontée en s'appropriant l'héritage et les ressources de l'Union soviétique qui s'effondrait. C'est un fait.
Maintenant, pour s'extirper d'un autre enchevêtrement de contradictions, il leur faut briser la Russie et les autres États qui choisissent à tout prix la voie souveraine de leur développement pour piller encore plus la richesse des autres pour boucher leurs trous.
 

 Si ce n'est pas le cas, je n'exclus pas qu'ils tentent de provoquer l'effondrement du système, sur lequel ils rejetteront toutes les responsabilités, ou, Dieu nous en préserve, qu'ils décident d'utiliser la formule bien connue "la guerre va tout effacer".

 
La Russie comprend sa responsabilité envers la communauté mondiale et fera tout pour ramener ces têtes brûlées à la raison.
Il est clair que le modèle néocolonial actuel est finalement voué à l'échec. Mais je répète que ses vrais propriétaires s'accrocheront à lui jusqu'au bout. Ils n'ont tout simplement rien à offrir au monde, si ce n'est la préservation du même système de vols et de racket.

En fait, ils crachent sur le droit naturel de milliards de personnes, la majeure partie de l'humanité, la liberté et la justice, ils crachent sur la détermination des peuples de décider par eux-mêmes leur propre avenir. Maintenant, ils sont complètement passés à un déni radical des normes morales, de la religion et de la famille.

 
Répondons à quelques questions très simples pour nous-mêmes.
 Je veux maintenant revenir sur ce que j'ai dit, je veux m'adresser à tous les citoyens du pays, pas seulement aux collègues qui sont dans la salle, à tous les citoyens de Russie : voulons-nous avoir, ici, dans notre pays, en Russie, au lieu de maman et papa, « parent numéro un », « numéro deux », « numéro trois », sont-ils complètement fous ? 
Voulons-nous vraiment que des perversions qui conduisent à la dégradation et à l'extinction soient imposées aux enfants de nos écoles dès le primaire ? Se faire leurrer qu'il existe soi-disant d'autres genres que les femmes et les hommes, et se voir proposer une opération de changement de sexe ? Voulons-nous tout cela pour notre pays et nos enfants ?

 Pour nous, tout cela est inacceptable, nous avons un avenir différent, notre propre avenir.

 

Je le répète, la dictature des élites occidentales est dirigée contre toutes les sociétés, y compris les peuples des pays occidentaux eux-mêmes. C'est un défi pour tout le monde.
 

 Un tel déni complet de l'homme, le renversement de la foi et des valeurs traditionnelles, la suppression de la liberté acquiert les caractéristiques d'une "religion inversée" : le satanisme pur et simple.

 

 Dans le Sermon sur la montagne, Jésus-Christ, dénonçant les faux prophètes, dit : c'est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. Et ces fruits toxiques sont déjà évidents pour les gens, pas seulement dans notre pays, dans tous les pays, y compris pour de nombreuses personnes et en Occident même.

Partout dans le monde, y compris en Europe et aux États-Unis, comme je l'ai dit, de nombreuses personnes partagent les mêmes idées, nous le ressentons, et nous voyons leur soutien.

 
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