30 juillet 2021

LES VACCINÉS VONT-ILS MOURIR DANS LES 4 PROCHAINES ANNÉES ?


Les prédictions mortelles du Professeur Luc Montagnier sur les vaccinés

Les prédictions mortelles du Professeur Luc Montagnier sur les vaccinés

C’est une bombe qui vient d’être lancée dans le ciel de la science, et plus précisément dans le domaine de la médecine en pleine période de lutte contre la pandémie du Covid-19 et des appels planétaires pour une massive et rapide vaccination des populations.

Le lauréat du prix Nobel de Médecine en 2008,Luc Montagnier a confirmé dans une interview traduite et publiée par la RAIR Foundation USA, qu’il n y a aucune chance de survie pour les personnes ayant reçu une forme quelconque du vaccin.

Dans cette interview choquante à plus d’un titre et qui aura certainement son lot de polémique et de critiques acerbes, le plus grand virologue du monde Luc Montagnier dira, sans retenue :
»il n y a aucun espoir et aucun traitement possible pour ceux qui ont déjà été vaccinés. Nous devons être prêts à incinérer les corps ».

Le génie scientifique soutient les affirmations d’éminents virologues qui ont étudié les différents constituants du vaccin en pointant leurs failles arrive à cette énigmatique conclusion :
« ils (les vaccinés par vaccin ARNm: Pfizer et Moderna) mourront tous d’une amélioration dépendante des anticorps. Rien de plus ne peut être dit » dira le lauréat du Prix Nobel, ajoutant :
« c’est une énorme erreur, non ? Une énorme erreur scientifique ainsi qu’une erreur médicale. C’est une erreur inacceptable ».
« Les livres d’histoire le montreront, car c’est la vaccination qui crée les variants,
de nombreux épidémiologistes le savent et observent le silence sur le problème connu sous le nom du « renforcement dépendant des anticorps », conclura Luc Montagnier.

Dans le sillage des réactions aux déclarations sismiques dans le ciel de la science de Luc Montagnier, notre contributeur, le Docteur Abdeladjalil Boudemagh, nous indiquera en ce sens que le problème de ces vaccins conçus sur une technique dite de thérapie génique appliquée à la vaccination ont été étudiées sans tenir compte des étapes nécessaires et obligatoires à leur homologation avec un recul insuffisant pour juger de leurs effets à court et moyen terme sur le corps humain.

Leur mise sur le marché a été forcée et peut s’apparenter à une forme de « fraude scientifique «  avec la pression des politiques en particulier aux États Unis : rappelons nous que Donald Trump avait misé sur l’autorisation prématurée du vaccin américain Pfizer pendant sa campagne électorale en octobre 2020 mais les « décideurs pour l’élection du futur président des États-Unis » en ont décidé autrement et soutenu Joe Biden et en effet l’autorisation de mise sur le marché du vaccin Pfizer n’a été obtenue comme par hasard qu’en décembre 2020 après que l’élection de Joe Biden eut été officiellement déclarée par le Sénat américain.

Quant à l’hypothèse émise par le professeur Luc Montagnier sur le « renforcement dépendant des anticorps » qui serait à l’origine dans les années à venir d’une forte mortalité des vaccinés par les vaccins ARNm type Pfizer et Moderna le docteur Abdeldjellil Boudemagh nous explique que c’est la protéine „Spike“ qui permet au coronavirus de pénétrer et d’infecter nos cellules et que le vaccin ARNm à été conçu pour que notre système immunitaire puisse la reconnaître immédiatement et détruire le virus .
Une des caractéristiques des coronavirus est leur forte potentialité à muter et on peut facilement assister à des mutations du virus qui vont engendrer une forte résistance au vaccin ARNm dans les mois ou années à venir .
Ces mutants ayant acquis une forte virulence vont re-infecter le vacciné avec des conséquences qui pourraient être mortelles.

En conclusion, le docteur Abdeldjellil Boudemagh rappelle que l’immunité collective acquise naturellement qu‘on a vite enterrée dans les pays occidentaux est la pierre angulaire de sortie de cette crise sanitaire.
Les différents articles sur le sujet ont permis aux lectrices et lecteurs d’Algerie54 de se faire une opinion et mesurer  leur pertinences.

 

Source: https://www.lifesitenews.com/news/nobel-prize-winner-mass-covid-vaccination-an-unacceptable-mistake-that-is-creating-the-variants?fbclid=IwAR1cV4dTHJsegF7F3DpsWOmleiP6_bfNxMMx-zdx0wsy7rvsqWee83URUPY

 

24 juillet 2021

Pandémie ou Plandemie ? Analyse scientifique d'un spécialiste.


Lettre d'information à l'attention des sénatrices et sénateurs, par Jean-François Lesgards

 Publié le 24/07/2021 à 09:29
Lettre aux sénateurs...
FSJ
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Auteur(s): Dr Jean-François Lesgards pour FranceSoir

TRIBUNE - Je vous adresse ce courrier en tant que citoyen, mais surtout en tant que chimiste, biochimiste et chercheur dans le domaine de la santé (maladies inflammatoires : cardiologie, cancers et aussi immunitaires) depuis plus de 25 ans (France, Canada, USA) et conseiller scientifique depuis 7 ans (sans conflits d’intérêts).

Ma lettre se veut essentiellement informative sur ce virus, sa gravité et les moyens de sortir de cette crise, basé sur la science. Je pense hélas que c’est d’informations scientifiques (vulgarisées, mais précises) justes et indépendantes sur ce virus dont les élus manquent pour établir une politique de santé adaptée. Il n’y a aucune provocation dans cette lettre (et j’imagine que vous devez en recevoir) mais en écoutant les séances de l’assemblé hier j’ai compris à quel point c’était nécessaire.

Je n’ai rien à vous apprendre dans votre domaine, mais je souhaite sincèrement que vous ayez la patience et la curiosité de lire ces quelques pages ou au moins de les parcourir, car sans cette compréhension et ce recul, ce pays continuera de s’enliser dans des décisions inefficaces. Le consentement libre et éclairé des Français est un élément clé de droit et passe par une prise de décision au Sénat en information complète d'où l'objet de cette lettre.

J’ai toujours pensé de plus et depuis très jeunes, je le dis très sincèrement, que les sénateurs étaient les gardiens de la démocratie et ceux qui avaient le plus de recul dans le monde politique, alors c’est avec cet esprit que je m’adresse à vous.

 

Sur le virus et sa dangerosité

Ce coronavirus SARS-CoV2 en particulier, mais aussi le MERS et le SARS-CoV1, sont plus virulents que les 3000 coronavirus connus à ce jour. On pourrait discuter ici du pourquoi entre proximité croissante hommes/animaux et manipulations en laboratoire (gain de fonction) pour développer des vaccins ainsi que des armes biologiques (vous ne pouvez ignorer que cela existe) mais je n’évoquerai pas ce point de l’origine ici.

Il se trouve que finalement la dangerosité de ces 3 coronavirus est réelle, je ne vais pas la nier, et cela vient de 3 ensembles de mutations. Les raisons biologiques de la particularité du SARS-CoV2 (et dans une très proche mesure du MERS et SARS-CoV1 qui auraient pu presque déclencher une pandémie), peuvent être exprimées en une phrase :

Ce coronavirus résiste particulièrement bien à certaines de nos défenses immunitaires clés, il a une diffusion grandement facilitée par rapport au MERS et SARS-CoV1 grâce à une mutation unique sur la protéine Spike et enfin il a une forte capacité à dérégler notre immunité et induire rapidement une inflammation dans notre organisme par rapport aux coronavirus normaux (responsables des rhumes par ex).

L’explication en 3 points (c’est là où je me permets de vous demander un peu de patience !) avant de venir rapidement aux solutions (mais si on ne comprend pas ce virus, on ne pourra pas rependre en vie normale). La particularité de ce virus par rapport aux coronavirus classique vient de :

1/ Un blocage de la fabrication d’interféron dans notre organisme : l’interféron est une première ligne de défense capitale contre les infections virales qui déclenche normalement une réponse immunitaire adaptative prolongée contre les virus (ceci est dû aux mutations sur les protéines M et ORFs)

2/ Une diffusion du virus beaucoup plus facile dans l’organisme par une beaucoup plus grande possibilité pour le virus de se lier à son récepteur (le fameux ACE2, vous avez dû en entendre parler) et donc d’infecter les cellules (et ce à peu près de partout dans l’organisme : pharynx, trachée, poumons, sang, cœur, vaisseaux, intestins, cerveau, organes génitaux masculins et reins).

Ceci est dû aux mutations sur la fameuse protéine Spike ou de pointe (site des furines) : ce point est clé, car cette mutation est UNIQUE dans les 3000 coronavirus connus à ce jour et même absent chez MERS Et SARS-CoV1 qui n’ont donc pas déclenché de pandémie ! Cette mutation est clé aussi parce qu’elle permet à différents enzymes de notre organisme de faciliter cette infection, des enzymes qui sont élevées chez les hypertendus, les diabétiques, les personnes âgées.

En plus de cette diffusion facilitée, le problème de l’interaction entre le virus et ce récepteur ACE2, c’est que cette protéine ACE2 est TRES UTILE dans notre organisme pour réguler la pression sanguine, mais aussi elle joue un grand rôle protecteur contre l’inflammation (et d’autres fonctions positives). En étant sollicitée/occupée par le virus elle ne joue plus son rôle antiinflammatoire essentiel au profit d’une autre protéine avec laquelle elle est en balance, l’ACE qui est elle pro-inflammatoire ! Notre « malchance » est donc que le récepteur du virus est une protéine clé pour notre organisme !

3/ Un dérèglement immunitaire et une réaction inflammatoire beaucoup plus forte contribuant grandement voir majoritairement au fameux orage des cytokines et aussi aux phénomènes de coagulation observés dans les formes le plus graves et les morts en réaction à la protéine portant l’ARN du virus, la protéine N (mutation sur cette protéine N vs coronavirus du rhume). Ceci est observé aussi dans le cas du MERS et SARS-CoV1 qui étaient aussi mortels mais moins contaminant car une protéine spike moins dangereuse (cf point 2). Cette réaction immunitaire qui conduit à l’inflammation et la coagulation est produite par le système immunitaire inné et « saute » un peu l’immunité acquise (celle liée aux vaccins).

 

La figure ci-dessous montre la localisation de ces protéines clés, on a un peu trop parlé de la protéine Spike même si elle est une des clés :

Les différentes protéines du virus

 

Au final, on peut comprendre pourquoi ce coronavirus a ce potentiel contagieux et inflammatoire voir mortel chez l’homme. On estime aujourd’hui que sa létalité (la mortalité chez les gens qui contractent le virus) moyenne dans le monde est situé entre 0.5 et 1% contre 0.1 pour la grippe. C’est plus qu’une grippette en effet. Par contre, ce n’est effectivement pas la peste qui a eu une létalité de 30 à 60 %.

Ce qui est important de retenir, même si on prononce trop souvent les mots de « virus », d’ « antiviraux », c’est que :

  • Il est très difficile d’empêcher la diffusion de ce virus
  • Le virus déclenche une réaction immunitaire et inflammatoire (immuno-inflammatoire) qui peut tuer. Et donc il faudrait remplacer presque le terme de « maladie virale » pour le COVID-19 par « maladie immuno-inflammatoire induite par un virus »Et insister beaucoup plus sur les thérapies anti-inflammatoires.

 

Qu’est-ce que cela dit sur les moyens pour l’espèce humaine de faire face à ce virus

1/ Sur l’immunité naturelle et collective :

Ces mutations particulières du virus, dans le SARS-CoV2 original comme dans les variants, fait qu’il va continuer à échapper à une partie de notre immunité.

Cependant on sait de la littérature que des anticorps déjà présents en réponse à des coronavirus (type rhume) par des infections antérieures ont fourni à un pourcentage important de la population une certaine immunité utile contre le SARS-CoV2 notamment chez les jeunes et très jeunes : c’est ce qu’on appelle l’immunité croisée.

D’autre part si des équipes ont observé que des personnes ont été infectés par 2 variants différents de SAR-CoV2, en général, une première immunisation produit une bonne immunité contre les variants (on aurait dû tester plus les anticorps chez les gens avant de les vacciner, certains sont déjà protégés, si on met de côté le coût des tests qui aurait pu être amélioré).

Donc je pense que cette immunité naturelle est clé (sans elle on ne serait pas là d’ailleurs, nous sommes assaillis et portons aussi en nous des milliers d’autres virus et bactéries) et nécessiterait d’être boostée ! Ceux qui l’ont fait n’ont pas contracté le virus ou ont fait des formes légères (c’est le cas de mes nombreuses personnes âgées avec des comorbidités de très nombreux médecins l’ont observé et des études le montrent). On parle ici notamment de Vitamine D (qui interagit avec plus de 500 gènes), zinc, quercétine..

Atteindre l’immunité collective serait possible, mais après combien de temps ? Difficile à dire. Et je comprends alors qu’on pense à l’aide des vaccins, mais cela nécessite des réflexions cruciales en termes de bénéfice/risque ainsi que de conséquences sur les libertés individuelles, mais je ne souhaite discuter ici que de science.

2/ Sur les vaccins :

Sur cette question précise qui nous implique tous en ce moment et qui sollicite déjà et va solliciter beaucoup de travail et de votre temps, il est essentiel de prendre un peu de recul et c’est évidemment un des buts de ma lettre vers vous.

Sur le papier, bien sûr que la vaccination du plus grand nombre peut théoriquement contribuer à compléter l’immunité collective et à freiner l’épidémie.

Dans la réalité plusieurs problèmes se posent et je parle de problèmes que des scientifiques indépendants (et même ceux avec des conflits d’intérêts d’ailleurs !) : 

  • Premier point sur l’efficacité :

Certains des plus grands spécialistes mondiaux des coronavirus ont déclaré qu’on ne vaccine pas contre les coronavirus et que les anticorps monoclonaux ne fonctionnent pas. A-t-on un vaccin contre les coronavirus du rhume ? En effet, c’est très compliqué de vacciner contre des virus à ARN par rapport aux virus très différents comme des vaccinations classiques infantiles.

Même s’il mute moins que la grippe vous voyez déjà qu’en Angleterre et en Israël des rapports très récents montrent que ces 2 pays au taux de vaccinations très élevés (et sur un temps court) montrent une augmentation des cas du variant Delta chez les vaccinés aussi et observent que chez les hospitalisés les rapports s’équilibrent entre vaccinés et non vaccinés (contrairement à ce que répète Mr Véran) et sont à peu près à 50/50 quand on dépasse 65 ans, c’est-à-dire la frange de population « cible » fragile du COVID ! J’espère que vous êtes au courant de ces données factuelles UK et Israël qui sont essentielles pour la réflexion !

Vous savez déjà que le vaccin protège mal de la contamination d’autres personnes : ceci est en rapport avec ce que j’ai cité plus haut sur la diffusion et réplication facile de ce virus. Il est du aussi à un phénomène appelé ADE (facilitation par les anticorps en français) où quand on a des anticorps défectueux ou pas assez compétents, les cellules immunitaires portant les anticorps contre le virus le reconnaissent, mais au lieu de le détruire vont l’« ingérer » et finalement contribuer à sa diffusion. Vous pourrez trouve ceci sur le Vidal en ligne en tapant ADE, Vidal ! Et ce phénomène se produit beaucoup plus fréquemment avec des vaccins qu’avec les anticorps produits lors d’une infection !

Sur les formes graves on observe une protection certes mais comme je l’écrivais plus haut, regardez les rapports des pays ayant plus de recul : hélas cela s’équilibre et cela est encore dû aux forces de ce virus : il échappe à l’immunité assez bien et surtout il induit très rapidement de l’inflammation qui tue les personnes fragiles et le vaccin n’immunise pas contre l’inflammationseuls les traitements le font ! D’où le paragraphe qui suivra sur les traitements pour lequel aussi je sollicite votre attention si j’ai encore l’opportunité et le plaisir de l’avoir jusqu’ici.

  • Deuxième point sur la sécurité/safety de ces vaccins :
    C’est là où les scientifiques les plus sérieux et désintéressés financièrement souhaitent vous alertez. Je parle ici des technologies expérimentales ARNm pour lesquelles on a très peu de recul à moyen et long terme. Pourquoi en France n‘a-t-on pas aidé plus à l’acceptation des vaccins classiques avec virus désactivés (type Sanofi ou vaccin chinois) ? Dans le cadre de cette quasi-obligation, cette proposition devrait être permise aux français, car ces vaccins sont beaucoup plus sécures (avec les mêmes limites d’efficacité).

Pour les risques, ils sont les suivants pour vaccins ARNm :

- La production pendant des semaines, voir des mois de la protéine Spike par différents types de cellules et dans de très nombreux organes en plus des protéines Spike circulante dans le sang. Si vous avez lu le point 2/ au début de mon texte vous comprendrez qu’on envoie dans tout le corps (même dans le cerveau) une des 2 molécules les plus toxiques du virus : la protéine SpikeIl n’est pas étonnant de retrouver les mêmes effets secondaires que celles du COVID chez beaucoup de personnes !
C’est logique. Je ne veux pas être catastrophiste, mais je vous alerte, même si vous devriez le savoir (site CDD, Eudravigilance), que des milliers de morts et des centaines de milliers d’effets secondaires graves sont répertoriés. Je parle de sites officiels et si on ne peut pas attribuer tous les décès aux vaccins ARNm on sait que cela correspond à au moins un facteur 100 fois plus que les déclarations pour les autres vaccins.

La possibilité et ce serait le pire, que l’ARN s’intègre définitivement dans l’ADN (2 enzymes au moins du corps humain sont capables de le faire). Là il s’agirait alors d’une flambée de cancers qui pourraient être observés entre 1 et 10 ansMaladies neurologiques et auto-immunes peuvent aussi en découler.

- Présence d’adjuvants jamais utilisés ni en injection ni par voie orale et non présents sur le site de l’ECHA (type nanolipides ALC-1059 ) et dont les sous-produits sont des cancérigènes potentiels connus( N,N-Dimethyltetradecylamine).

- Présence de PEG allergisant (jusqu’à choc anaphylactique)

Pour toutes ces raisons, j’assume dire que nous assistons à une totale expérimentation à l’aveugle à l’échelle planétaire et c’est inacceptableIl faudrait vraiment recommander les vaccins classiques et cela inciterait de nombreux citoyens éclairés ou non à se faire vacciner

 

Sur les thérapies 

Je vais être factuel et court. Il existe bien des thérapies contre le COVID contrairement à ce qu’on en entend trop dans tous les médias et dans la bouche de scientifiques qui ont des conflits d’intérêts, je suis désolé de le rappeler.

Encore une fois, je reste collé à la science et à ce que j’ai expliqué au début de ce courrier et rappelé ; il est très difficile de bloquer la diffusion de ce virus donc les antiviraux « purs » ne fonctionnent pas tels les anticorps monoclonaux. Certaines molécules ont une certaine efficacité antivirale, mais elle s’adjoint SURTOUT d’une efficacité anti-inflammatoire !

C’est le cas en particulier de l’Ivermectine et sur ce sujet comme tous ceux évoqués, je pourrais aussi évidemment donner de la bibliographie.

C’est aussi le cas de l’Hydroxychloroquine en association avec l’azithromycine et zinc (si on fait la bibliographie avec ces associations, on trouve que c’est efficace).

Il y a d’autres thérapies, je ne vais pas en faire la liste, mais l’essentiel est d’utiliser des antiviraux AVEC des antiinflammatoires. Heureusement qu’on utilise la dexaméthasone à l’hôpital qui sauve des vies, mais il existe d’autres antiinflammatoires beaucoup plus précisément axés sur les voies inflammatoires précises du COVID qui ne sont pas encore utilisées.

Les thérapies, point important aussi, ne contribuent pas à développer de variants contrairement aux vaccins ARNm, car la pression des vaccins ARNm est concentrée sur la protéine spike alors que les médicaments agissent par des voies plus variées et complexes.

Et on devrait discuter de cela beaucoup plus au lieu de cristalliser le débat sur une vaccination de masse accompagné d’un passe sanitaire et de sanctions et j’en arrive donc à ma conclusion scientifique et objective.

 

Conclusion

Ma conclusion se base à la fois sur la littérature scientifique, mais aussi sur les remontées du terrain (je suis en contact avec de très nombreux médecins) ainsi que sur l’observation de ce qui se passe depuis 1 an et demi dans le monde selon les différentes mesures.

Etant donné les particularités ce virus SARS-CoV2 et de ses variants que j’ai évoqué ici, il est IMPOSSIBLE qu’une vaccination seule bloque la contamination et les morts à l’hôpital.

Si on pratique cette politique unique, ce qui semble se confirmer, je peux vous assurer qu’il y aura bien cette 4ème vague que nous débutons puis une 5ème en octobre-novembre (plus mortelle en raison de la saisonnalité et en absence de traitements précoces et plus variés) et d’autres après. La surprise pourrait être que notre immunité naturelle s’adapte plus fortement et associé à la vaccination, mais ses effets sont largement surestimés (surtout face aux variants actuels et à venir).

La meilleure façon de sortir rapidement de cette crise repose sur plusieurs axes :

  • Une application raisonnable des gestes barrières : masque dans métro ou lieux à forte concentration mais surtout proposer du gel hydroalcoolique dans les endroits très fréquentés (transports en commun etc). Je sais qu’on vous a beaucoup parlé de transmission aérienne, mais ça n’a pas de sens scientifiquement par rapport à la charge virale : ce virus se transmet par les mains.
  • Proposer des vaccins classiques à base de virus désactivé et non uniquement des thérapies expérimentales dont nous verrons tous au grand jour les effets secondaires graves
    Ceci pour avoir la confiance des Français et que ce soit fait évidemment comme une incitation et non pas comme une obligation vécue comme une agression par une majorité des Français (je ne vais pas développer scientifiquement sur les relations entre stress et baisse de l’immunité) et qui enfreint tellement de lois essentielles (françaises et européennes).
  • Il faut à tout prix réévaluer en France les traitements contre COVID (par des experts nationaux et internationaux indépendants !) : antiviraux ET antiinflammatoires, et rendre ces traitements accessibles à tous et SURTOUT aux plus fragiles face au COVID. On n’a toujours pas de vaccin contre le Sida, a-t-on eu tort de soigner et sauver des milliers de vies ? Le Covid serait la seule maladie sans aucun traitement.
    Ce n’est pas la réalité et des pays beaucoup plus grands que nous, comme l’Inde (20 fois notre population) ont réussi à enrayer l’épidémie avec une mortalité qui est parlante quand on la compare à la France.

La prévention et le renforcement immunitaire des personnes fragiles serait aussi très efficace pour limiter la contamination (l’ivermectine fonctionne aussi en prophylactique par ex) et en tout cas les formes graves et hospitalisations.

Je sais que traduire tout cela en propositions et actes politiques ne se fait pas si simplement. Je sais la désinformation et les pressions que vous subissez. Je pense que l’information que je vous partage ici est essentielle cependant pour votre réflexion.

J’ai mis mon entière honnêteté et l’essentiel des connaissances non déformées sur ce COVID dans ce courrier. A aucun moment, je n’ai souhaité provoquer ou trop simplifier.

Mais je veux le dire fortement cependant : si vous faites seulement le choix d’une vaccination obligatoire (je passe sur l’aspect des libertés auxquelles je sais que vous êtes attachées), vous relirez mon mail avec un autre œil en novembre en observant l’INEFFICACITE TOTALE de cette mesure déconnectée de la science et du bon sens.

Bien cordialement et très sincèrement,
 

Dr Jean-François Lesgards
Laboratoire Sondes Moléculaires en Biologie et Stress Oxydant (SMBSO), Institut de Chimie Radicalaire (ICR), UMR CNRS 7273, Aix Marseille Université.

Auteur(s): Dr Jean-François Lesgards pour FranceSoir

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23 juillet 2021

Le monde de demain :un Great Reset programmé !



Great Reset...danger.

Premiere partie

La mise en œuvre de mesures de verrouillage mondial qui détruisent les entreprises, anéantissent l'économie et laissent les gens sans ressources et dépouillés de leurs droits constitutionnels, tout en essayant de mettre en place un système invasif de recherche de contacts, des passeports d'immunité et d'autres appareils de surveillance bioélectronique massive, n'aurait jamais été acceptée par les citoyens d'une société libre. 
La soi-disant grande réinitialisation est une vieille idéologie vantée depuis des décennies par des mondialistes comme Henry Kissinger, qui a opiné en 2014 : "Jamais auparavant un nouvel ordre mondial n'a dû être assemblé à partir d'autant de perceptions différentes, ou à une échelle aussi globale."
 La grande réinitialisation est le mécanisme proposé pour mettre en marche un nouvel ordre mondial, mais il ne serait pas possible de mettre en avant un plan aussi audacieux sans une crise mondiale, qu'elle soit fabriquée ou d'un hasard malheureux, qui secoue la société en profondeur.
 "La pandémie représente une occasion rare mais étroite de réfléchir, de réimaginer et de réinitialiser notre monde pour créer un avenir plus sain, plus équitable et plus prospère" - Klaus Schwab, WEF

    - Quels types de technologies de surveillance invasives seront nécessaires à la grande réinitialisation. 

   - Pourquoi la grande réinitialisation est rebaptisée et poussée en 2020.  

  - Comment la foule de Davos essaie de vendre l'utopie de la grande réinitialisation.   

 - Qui sera invité à renoncer à sa vie privée pour le bien commun ?  

  - Quand les humains deviendront piratables   

 Avec l'arrivée de la pandémie de coronavirus, le WEF dispose de l'excuse parfaite pour mettre rapidement en œuvre sa vision visant à orienter la société vers un avenir technocratique plus invasif et intrusif, au nom du bien commun.
Les architectes non élus de la grande réinitialisation envisagent un monde utopique d'inclusivité, d'égalité et de durabilité qui nécessitera de faire confiance aux technologies émergentes comme l'IA, la 5G, la Blockchain et la robotique, afin d'inaugurer leur aube dorée.

Suite dans poste suivant



Suite de la 1ere partie 
great reset....danger

La grande réinitialisation exigera la confiance dans les technologies de surveillance invasives : Le WEF promeut les passeports santé et la recherche des contacts Pour que la grande réinitialisation ait lieu, il faudra avoir confiance dans la technologie et, pour être plus précis, le WEF aimerait qu'il y ait une plus grande confiance dans la "technologie pertinente en cas de crise", ce qui inclut le développement de passeports sanitaires numériques et la recherche des contacts, dans le cadre d'une nouvelle forme de gouvernance de l'internet. "L'utilisation de la technologie numérique pendant la crise du COVID-19 offre des leçons claires [...] Cibler la méfiance de manière générale pour permettre l'utilisation de technologies spécifiques en cas de crise" - Daniel Dobrygowski, WEF "Le Great Reset nécessitera de nouvelles institutions et de nouveaux modèles d'affaires, ainsi que de nouvelles technologies numériques pour les construire", a écrit le responsable de la gouvernance d'entreprise et de la confiance du WEF, Daniel Dobrygowski, dans un billet de blog. "La collaboration nécessaire, cependant, n'est possible que si nous résolvons le problème de la confiance numérique", a-t-il ajouté. Selon M. Dobrygowski, "l'utilisation de la technologie numérique pendant la crise du COVID-19 offre des leçons claires", l'une d'entre elles étant : "Cibler la méfiance de manière générale pour permettre l'utilisation de technologies spécifiques adaptées à la crise." Le WEF soutient ouvertement le développement de ce que l'on appelle les "technologies pertinentes en cas de crise", comme en témoigne son soutien au développement de passeports sanitaires, qui servent d'enregistrements numériques de votre état de santé pour déterminer si vous êtes libre de voyager ou même de sortir. Plus tôt cette année, le WEF a annoncé qu'il soutenait le développement et le lancement de CommonPass - une plateforme dont la mission est de "développer et lancer un modèle mondial standard pour permettre aux gens de documenter et de présenter en toute sécurité leur statut COVID-19 (soit sous forme de résultats de tests, soit sous forme d'un éventuel statut de vaccination) pour faciliter les voyages internationaux et le passage des frontières tout en gardant leurs informations de santé privées". "Les applis de recherche de contacts peuvent être des armes puissantes contre le virus - mais elles peuvent aussi être des outils de surveillance étatique" - rapport du WEF. Le WEF a également apporté son soutien à une autre initiative de passeport santé appelée CovidPass, qui a été construite par l'un des propres "Young Global Leaders" du WEF, Mustapha Mokass, qui était auparavant conseiller à la Banque mondiale. CovidPass "utilise la technologie blockchain pour stocker les données cryptées des tests sanguins individuels, permettant aux utilisateurs de prouver qu'ils ont été testés négatifs pour le COVID-19." En soutenant à la fois CommonPass et CovidPass, l'élite de Davos a clairement indiqué qu'elle souhaitait que des "technologies pertinentes en cas de crise" comme les passeports sanitaires fassent partie de la grande solution de réinitialisation. Demandez-vous si l'idée d'être obligé de prouver électroniquement votre état de santé actuel pour voyager ou même quitter votre domicile aurait été acceptable il y a 10 mois.



Suite 3 great reset ...danger

Le WEF admet dans son propre cadre de gouvernance de la recherche des contacts que "les applications de recherche des contacts peuvent être des armes puissantes contre le virus - mais elles peuvent aussi être des outils de surveillance de l'État." Pourtant, le WEF estime que les gens devraient équilibrer certaines libertés pour servir le bien commun. C'est une vision globale sans finalité claire, qui va à l'encontre des républiques constitutionnelles qui protègent certains droits inaliénables. "Ce nouvel état d'esprit permettrait d'équilibrer les préoccupations relatives à la vie privée et à d'autres questions avec le potentiel de création de valeur et d'amélioration des vies" - rapport du WEF. Selon le cadre du WEF, la mise en œuvre de la technologie de recherche des contacts "ne sera pas facile et nécessitera un nouveau consensus social qui accepte l'utilisation de la technologie pour résoudre les problèmes pour le bien de tous". En outre, "ce nouvel état d'esprit permettrait d'équilibrer les préoccupations relatives à la vie privée et à d'autres questions avec le potentiel de création de valeur et d'amélioration des vies." Afin d'imposer des technologies invasives à la population, les citoyens du monde devront se rendre compte que c'est pour le bien de tous et qu'ils devraient changer d'état d'esprit pour être moins préoccupés par "la vie privée et d'autres questions" et plus enthousiasmés par "le potentiel de création de valeur et d'amélioration des vies." La grande réinitialisation "nécessitera des gouvernements plus forts et plus efficaces [...] et exigera l'engagement du secteur privé à chaque étape du processus" - Klaus Schwab, WEF La quasi-totalité des partisans de la recherche des contacts et des passeports médicaux, y compris le WEF, déclarent tous que la technologie doit être utilisée et gérée de manière éthique, mais on ne voit pratiquement aucune mention de l'obtention du consentement de la population. Au lieu de cela, ils font pression sur les parties prenantes et les décideurs politiques pour qu'ils portent le flambeau de la transmission de la vision globale, du sommet de la pyramide jusqu'à la base. "Alors que nous passons du sauvetage à la reprise, nous disposons d'une occasion unique, mais qui se réduit rapidement, de tirer des leçons et de nous remettre sur une voie plus durable. C'est une occasion que nous n'avons jamais eue auparavant et que nous n'aurons peut-être plus jamais" - Prince Charles Si le coronavirus disparaissait de la planète aujourd'hui, le WEF devrait-il attendre une nouvelle crise mondiale ou continuerait-il à appliquer le même programme de réinitialisation ? Selon le directeur du WEF, la grande réinitialisation "nécessitera des gouvernements plus forts et plus efficaces [...] et exigera l'engagement du secteur privé à chaque étape du processus". "Le monde doit agir conjointement et rapidement pour réorganiser tous les aspects de nos sociétés et de nos économies, de l'éducation aux contrats sociaux et aux conditions de travail", a-t-il ajouté. "Nous devons construire des fondations entièrement nouvelles pour nos systèmes économiques et sociaux." En créant l'ordre à partir du chaos du coronavirus, la grande remise à zéro promet d'apporter "un monde plus sûr, plus égal et plus stable."



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Surveillance bio-électronique et humains piratables Nous n'avons même pas abordé la façon dont la grande réinitialisation affecterait le système monétaire mondial et le rôle de la blockchain et des paiements numériques, mais lorsque vous regardez les passeports de santé numériques et les applications de recherche de contacts, vous êtes face à une forme sophistiquée de surveillance bio-électronique que le monde n'a jamais vue auparavant. "Nous ne sommes plus des âmes mystérieuses ; nous sommes désormais des animaux piratables" - Yuval Harari, WEF Lorsque vous combinez des données biologiques avec une puissance informatique avancée, ce que vous obtenez est la capacité de pirater les humains. S'exprimant à Davos ces dernières années, l'historien Yuval Harari a déclaré que "les organismes sont des algorithmes" et que "les nouvelles technologies donneront bientôt à certaines entreprises et gouvernements la capacité de pirater les êtres humains." "Le pouvoir de pirater les êtres humains peut bien sûr être utilisé à de bonnes fins, comme fournir de bien meilleurs soins de santé", a déclaré Harari, ajoutant : "Mais si ce pouvoir tombe entre les mains d'un Staline du XXIe siècle, le résultat sera le pire régime totalitaire de l'histoire de l'humanité, et nous avons déjà un certain nombre de candidats pour le poste de Staline du XXIe siècle." "Dans l'URSS de Staline, l'État surveillait les membres de l'élite communiste plus que quiconque. Il en sera de même pour les futurs régimes de surveillance totale." La grande réinitialisation appelle à restructurer chaque aspect de la société, et elle ne peut le faire que si les gens font confiance à la technologie de surveillance bio-électronique de plus en plus invasive qu'ils souhaitent déployer. "Dans l'URSS de Staline, l'État surveillait les membres de l'élite communiste plus que quiconque. Il en sera de même pour les futurs régimes de surveillance totale" - Yuval Harari, WEF Plus les gens savent que quelqu'un les surveille, plus ils changeront leur comportement. Le simple fait de savoir que quelqu'un surveille chacune de vos transactions numériques vous incitera à vous conformer à certaines normes. Lorsqu'une population grandit sous une surveillance massive, elle adapte son comportement pour paraître normale aux yeux de la société mais docile aux yeux de l'autorité. Au fil du temps, les citoyens se surveilleront eux-mêmes par peur. Jetez un coup d'œil à l'état de surveillance de la Chine communiste, et vous verrez ce que je veux dire. Le WEF veut gagner votre confiance, vous avez le choix La tyrannie arrive par étapes subtiles. Elle est lente au début, mais avant même que vous ne réalisiez son existence, elle a déjà gagné. C'est ce que je vois se produire avec la fusion impie de "la grande réinitialisation" avec "la nouvelle normalité". Ceux qui tirent les ficelles ont supplié qu'il y ait une crise mondiale pour déclencher leur restructuration mondiale de la société et de l'économie.



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Vous pouvez croire la vision du WEF partagée par certains des bureaucrates les plus influents du monde, ou vous pouvez être sceptique à l'égard de l'ensemble du programme de l'establishment qui vous demande de faire confiance au plan. Une chronologie de l'agenda de la grande remise à zéro : de la fondation à l'événement 201 et à la pandémie de 2020. Le Brésil dit "non" à la grande réinitialisation : Le contrôle social totalitaire n'est le remède à aucune crise. Votre identité numérique peut être utilisée contre vous dans le cas d'une grande réinitialisation. La "grande réinitialisation" rencontre l'Internet des corps : manipuler le comportement humain avec une surveillance autoritaire L'autoritarisme est plus facile dans un monde de visibilité totale : Rapport du Forum économique mondial La course à l'armement technologique "donnera aux entreprises et aux gouvernements la capacité de pirater les êtres humains" : Yuval Harari au WEF Les humains piratables peuvent devenir des dieux ou tomber sous la coupe de dictateurs numériques régnant sur des colonies de données : Les perspectives du WEF l'avenir" - Klaus Schwab, WEF Si vous êtes le fondateur du Forum économique mondial (WEF), Klaus Schwab, vous tentez de vendre votre vision d'une utopie mondiale via une grande réinitialisation de l'ordre mondial en trois étapes simples : Annoncez votre intention de réorganiser tous les aspects de la société grâce à une gouvernance mondiale et répétez sans cesse ce message. Lorsque votre message ne passe pas, simulez de faux scénarios de pandémie qui montrent pourquoi le monde a besoin d'une grande remise à zéro. Il aura fallu environ six ans à Schwab et à l'élite de Davos pour voir leur idéologie de la grande remise à zéro passer d'une minuscule graine suisse en 2014 à une super-fleur européenne qui pollinisera le monde entier en 2020. La soi-disant "grande réinitialisation" promet de construire "un monde plus sûr, plus égal et plus stable" si tous les habitants de la planète acceptent "d'agir conjointement et rapidement pour réorganiser tous les aspects de nos sociétés et de nos économies, de l'éducation aux contrats sociaux et aux conditions de travail." Mais il n'aurait pas été possible d'envisager la matérialisation d'un tel plan global pour un nouvel ordre mondial sans une crise mondiale, qu'elle soit fabriquée ou d'un hasard malheureux, qui ait choqué la société dans son ensemble. Ainsi, en mai 2018, le WEF s'est associé à Johns Hopkins pour simuler une pandémie fictive - baptisée "Clade X" - afin de voir dans quelle mesure le monde serait préparé si jamais il était confronté à une telle crise. Un peu plus d'un an plus tard, le WEF s'est à nouveau associé à Johns Hopkins, ainsi qu'à la Fondation Bill et Melinda Gates, pour organiser un autre exercice de pandémie appelé "Event 201" en octobre 2019. Les deux simulations ont conclu que le monde n'était pas préparé à une pandémie mondiale. Et quelques mois à peine après la conclusion de l'Event 201, qui simulait spécifiquement une épidémie de coronavirus, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a officiellement déclaré que le coronavirus avait atteint le statut de pandémie le 11 mars 2020. "La prochaine pandémie grave ne causera pas seulement une grande maladie et des pertes de vie, mais pourrait également déclencher des conséquences économiques et sociétales majeures en cascade qui pourraient contribuer grandement à l'impact et à la souffrance au niveau mondial" - Simulation de pandémie de l'événement 201 (octobre, 2019). Depuis lors, à peu près tous les scénarios couverts par les simulations Clade X et Event 201 sont entrés en jeu, notamment : Des gouvernements mettant en place des lockdowns dans le monde entierL'effondrement de nombreuses industriesUne méfiance croissante entre les gouvernements et les citoyensUne plus grande adoption des technologies de surveillance biométriqueCensure des médias sociaux au nom de la lutte contre la désinformation. La volonté d'inonder les canaux de communication de sources "dignes de foi" Une pénurie mondiale d'équipements de protection individuelle L'effondrement des chaînes d'approvisionnement internationales Un chômage massif Des émeutes dans les rues Et bien d'autres choses encore ! Après que les scénarios de cauchemar se soient pleinement matérialisés à la mi-2020, le fondateur du WEF a déclaré en juin de cette année que "le moment est venu de procéder à une grande réinitialisation". Est-ce grâce à l'excellence des prévisions, de la planification et de la modélisation du WEF et de ses partenaires que la Clade X et l'événement 201 se sont avérés si prophétiques, ou y avait-il quelque chose de plus ?

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Dans le cadre de son programme de "grande réinitialisation" visant à remodeler l'économie mondiale, le Forum économique mondial (WEF) souhaite que chaque habitant de la planète soit relié à une identité numérique. "Cette identité numérique détermine les produits, les services et les informations auxquels nous pouvons accéder - ou, à l'inverse, ce qui nous est fermé" - rapport du WEF. Et si les identités numériques sont très prometteuses pour améliorer les moyens de subsistance de millions de personnes, elles sont également utilisées par des gouvernements autoritaires pour établir le profil des citoyens et contrôler leur comportement dans le cadre d'un système de crédit social. L'idée derrière les identités numériques est assez simple. Toutes les données recueillies lors de chaque interaction en ligne avec les secteurs privé et public servent à former votre identité numérique. Ces données peuvent inclure vos données personnelles : L'historique de vos recherchesLes interactions avec les médias sociauxLes profils en ligneLa localisation de votre appareilLes dossiers médicauxLes registres financiersLes documents juridiquesEt plus encore. En ce qui concerne la commodité personnelle, le fait d'avoir une identité numérique qui regroupe tout en un seul endroit peut être une aubaine dans la mesure où vous pouvez utiliser votre identité numérique pour une variété de biens et de services où que vous alliez, et toutes vos données peuvent être sécurisées sur la blockchain. Mais, comme avec toute technologie, la confiance vient du fait de savoir comment elle est utilisée, et de savoir qui profite le plus des personnes qui l'utilisent. "Avec quelques modifications du code, la blockchain peut être corrompue par des autoritaires pour construire des systèmes d'asservissement par crédit social", a récemment averti Trent Lipinski dans le Coin Telegraph. "Si les gouvernements mondiaux légifèrent sur la technologie de cryptage à leurs propres fins et pervertissent les mécanismes de consensus pour leurs propres systèmes d'asservissement centralisés, nous nous retrouverons avec des monnaies numériques qui pourront être utilisées contre les peuples du monde", a-t-il ajouté. "La quatrième révolution industrielle aboutira à une fusion de nos identités physique, numérique et biologique" - Klaus Schwab, WEF D'un autre côté, il existe de nombreuses façons d'appliquer cette technologie pour le bien de l'humanité. Par exemple, la semaine dernière, le WEF a mis en avant une application développée par la société blockchain irlandaise AID:Tech, qui aide les personnes dépourvues de documents officiels à créer des identités légales personnelles. Cependant, il y a une grande différence entre l'identité et l'identification. Fournir une pièce d'identité à quelqu'un qui n'avait pas de documents officiels au départ est une chose ; c'en est une autre lorsque le concept est élargi pour inclure la connexion de chaque personne sur la planète avec une identité numérique qui conserve un enregistrement inviolable de son comportement. L'identité englobe tout ce qui vous rend unique, et votre identité est ce qui intéresse vraiment le WEF. Sortez du rang, et chaque interaction sur les médias sociaux à laquelle vous participez, chaque centime que vous échangez et chaque mouvement que vous faites - peut être utilisé contre vous. Selon un rapport du WEF de 2018, "Notre identité est, littéralement, ce que nous sommes, et à mesure que les technologies numériques de la quatrième révolution industrielle progressent, notre identité est de plus en plus numérique." De même, Klaus Schwab, fondateur du WEF, a prédit que la quatrième révolution industrielle entraînerait la "fusion de nos identités physique, numérique et biologique."



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En reliant toutes vos interactions en ligne et hors ligne, le WEF envisage que votre identité numérique soit liée à : chaque clic, commentaire et partage que vous faites sur les médias sociaux chaque transaction financière que vous enregistrez votre localisation et vos déplacements ce que vous achetez et vendez vos données de santé personnelles et vos dossiers médicaux les sites web que vous visitez votre participation aux fonctions civiques (vote, impôts, prestations, etc.) votre consommation d'énergie et bien plus encore. Ainsi, votre identité numérique devient un compte rendu de votre comportement social, qui peut être contrôlé. "Cette identité numérique détermine les produits, services et informations auxquels nous pouvons accéder - ou, à l'inverse, ce qui nous est fermé", selon le même rapport du WEF de 2018. En d'autres termes, il y aura un système de classes où les gens auront accès à des informations, des produits et/ou des services privilégiés en fonction des données enregistrées dans leur identité numérique. L'internet des corps "pourrait déclencher des percées dans le domaine des connaissances médicales [...] ou permettre un état de surveillance d'une intrusion et de conséquences sans précédent" - rapport de la RAND Corporation. Mais quel problème pourrait être si grave que sa solution justifie de cataloguer chaque individu sur la surface de la terre d'une manière aussi radicale ? Selon le WEF, le problème à résoudre est celui du "capitalisme" en ce qui concerne les structures sociétales et l'économie mondiale. La grande réinitialisation globale est la solution qu'ils proposent - un moyen de parvenir à une fin où le comportement de chacun est horodaté et enregistré sur son identité numérique. Mais si vous pensiez que votre identité numérique n'était qu'une application sur un smartphone, attendez d'entendre comment le WEF veut que votre identité numérique soit connectée à votre corps physique grâce à l'Internet des corps (IoB). L'IoB est un écosystème composé "d'un nombre sans précédent de capteurs attachés, implantés ou ingérés dans le corps humain pour surveiller, analyser et même modifier le corps et le comportement humains", selon le briefing 2020 du WEF sur l'IoB. Exemples d'Internet des corps, RAND Corporation Avec l'Internet des corps proposé, non seulement tous vos comportements sociaux seraient enregistrés, mais aussi tout ce que vous faites en privé. Les capteurs qui détectent le moment où vous allez aux toilettes, l'endroit où vous dormez, votre température et même votre degré de fertilité seront tous connectés à l'internet dans l'écosystème de l'IoB. Qui pourrait bénéficier de la consolidation massive de tous les détails intimes de votre vie ?



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Manipuler le comportement humain avec une surveillance autoritaireLa recherche de contacts ne sert pas seulement à traquer les virus, c'est un outil de crédit social pour surveiller les déplorables d'une nation .

Alors que la mise en réseau des humains et des machines s'avère incroyablement prometteuse pour l'amélioration de la santé et du bien-être des générations à venir, l'Internet des corps (IoB) risque également de permettre la mise en place d'un État de surveillance mondiale comme le monde n'en a jamais connu. L'internet des corps "pourrait déclencher des percées dans le domaine des connaissances médicales [...] ou permettre un état de surveillance d'une intrusion et de conséquences sans précédent" - Rapport de la RAND Corporation. À la suite du lancement de son programme de "grande réinitialisation", le Forum économique mondial (WEF) a fait pression pour l'adoption mondiale de l'IoB, qui risque de permettre la mise en place d'un appareil de surveillance autoritaire capable de manipuler le comportement humain pour atteindre les résultats souhaités. Selon un récent rapport de la société RAND, l'IoB "pourrait déclencher des percées dans le domaine des connaissances médicales [...] ou pourrait permettre un état de surveillance d'une intrusion et de conséquences sans précédent". L'écosystème IoB fait partie de la quatrième révolution industrielle que le Forum économique mondial (WEF) souhaite exploiter pour son programme de "grande réinitialisation". "L'un des aspects positifs de la pandémie est qu'elle a montré à quelle vitesse nous pouvons modifier radicalement nos modes de vie [...] Les populations ont massivement montré leur volonté de faire des sacrifices" - Klaus Schwab, directeur du WEF. Conçu il y a plus de cinq ans et lancé en juin 2020, le programme dit de "grande remise à zéro" promet de nous offrir un "monde meilleur", plus durable et plus équitable, si nous acceptons de "réorganiser tous les aspects de nos sociétés et de nos économies, de l'éducation aux contrats sociaux et aux conditions de travail." Des changements aussi radicaux exigeraient un changement complet de notre façon de penser et de notre comportement, et quel meilleur moyen de modifier notre comportement que de surveiller chacun de nos mouvements grâce à un réseau connecté de dispositifs de suivi numériques ? Selon RAND, "une plus grande connectivité et la généralisation de l'IoB dans les smartphones et les appareils - dont certains pourraient collecter des données à l'insu de l'utilisateur - vont accroître le suivi numérique des utilisateurs dans toute une série de comportements." "L'adoption accrue de l'IoB pourrait également augmenter les risques géopolitiques mondiaux, car les États de surveillance peuvent utiliser les données de l'IoB pour imposer des régimes autoritaires" - Rapport de la RAND Corporation. Exemples d'Internet des corps, RAND Corporation Le WEF soutient pleinement l'adoption généralisée de l'IoB, bien qu'il reconnaisse les énormes problèmes éthiques qui découlent du fait d'avoir "un nombre sans précédent de capteurs fixés, implantés ou ingérés dans le corps humain pour surveiller, analyser et même modifier le corps et le comportement humains". "L'heure est venue de l'Internet des corps. Cela signifie collecter nos données physiques via des dispositifs qui peuvent être implantés, avalés ou simplement portés, générant ainsi d'énormes quantités d'informations liées à la santé" - Xiao Liu, WEF Sachant que l'Internet des corps peut être utilisé pour contrôler le comportement humain tout en ayant accès aux données sanitaires, financières et comportementales les plus sensibles de chaque personne sur la planète, l'élite de Davos "exhorte les parties prenantes de tous les secteurs, industries et géographies à travailler ensemble pour atténuer les risques afin de libérer pleinement le potentiel de l'IoB", selon un rapport du WEF de juillet 2020. "Après l'Internet des objets, qui a transformé notre façon de vivre, de voyager et de travailler en connectant les objets du quotidien à Internet, l'heure est maintenant à l'Internet des corps", écrit Xiao Liu, Fellow au Centre pour la quatrième révolution industrielle du WEF. "Cela signifie collecter nos données physiques via des dispositifs qui peuvent être implantés, avalés ou simplement portés, générant d'énormes quantités d'informations liées à la santé." Si vous pensez que l'idée derrière les applis de recherche de contacts ne sert qu'à suivre les personnes infectées par des virus, détrompez-vous... Mais si le fait d'avoir "accès à d'énormes torrents de données biométriques diffusées en direct pourrait déclencher des percées dans le domaine des connaissances médicales ou de la compréhension des comportements", la RAND Corporation prévient que l'IoB pourrait également "permettre un état de surveillance d'une intrusion et de conséquences sans précédent." Selon la RAND, "l'adoption accrue de l'IoB pourrait également augmenter les risques géopolitiques mondiaux, car les États de surveillance peuvent utiliser les données de l'IoB pour imposer des régimes autoritaires." Par exemple, c'est le même écosystème qui permet au Parti communiste chinois (PCC) de collecter les données ADN de sa population ouïghoure, afin que le régime autoritaire puisse espionner, emprisonner et stériliser davantage toute une minorité ethnique, entre autres atrocités horribles.



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L'autoritarisme est plus facile dans un monde de visibilité totale" 

Les guerres météorologiques, la surveillance autoritaire, le contrôle social et bien d'autres choses encore sont des "chocs du futur" qui pourraient déstabiliser fondamentalement le monde tel que nous le connaissons, selon le 

"L'autoritarisme est plus facile dans un monde de visibilité et de traçabilité totales". Le rapport du WEF pour 2019 énumère 10 "Chocs futurs", qui ne sont pas des prédictions, mais plutôt des "éléments de réflexion et d'action" sur les technologies et les tendances actuelles qui ont le potentiel de secouer la société, en bien ou en mal, dans un avenir très proche. 

Les 10 chocs du futur sont : 
☣Les guerres météorologiques et l'utilisation d'outils de manipulation du temps pour attiser les tensions géopolitiques.
☣L'informatique quantique, qui rendra obsolète la cryptographie actuelle. ☣Migration massive des zones rurales vers les zones urbaines, pouvant entraîner l'érosion de l'unité de l'État. 
☣Des perturbations de l'approvisionnement alimentaire qui pourraient déclencher des guerres commerciales ou conduire à des attaques biologiques sur les cultures en temps de guerre
☣La surveillance biométrique qui 
permet de nouvelles formes de contrôle social
☣Des pénuries d'eau qui pourraient poser une crise existentielle à l'ensemble de l'humanité
☣L'espace extra-atmosphérique qui devient un espace contesté dans la prochaine course à l'armement
☣Des "Woebots" de l'IA qui imitent les émotions humaines mais pourraient être utilisés par les gouvernements pour attiser les divisions de colère
☣Des violations des droits de l'homme où la censure, 
 
Examinons de plus près les chocs du futur qui concernent davantage la technologie. 
☣Guerres météorologiques : manipulation par la perception, la tromperie et l'ensemencement des nuages "Les outils de manipulation du temps, comme l'ensemencement des nuages pour provoquer ou supprimer la pluie, ne sont pas nouveaux". Ne vous y trompez pas, les outils de manipulation météorologique existent bel et bien, et pourtant aucun gouvernement ou groupe n'a revendiqué l'utilisation de cette technologie comme arme. "Les outils de manipulation météorologique - comme l'ensemencement des nuages pour induire ou supprimer la pluie - ne sont pas nouveaux, mais leur déploiement à l'échelle devient plus facile et plus abordable", indique le Rapport sur les risques mondiaux 2019 du WEF. Comment savent-ils que "les déployer à l'échelle devient plus facile" ? S'agit-il d'une déclaration théorique, ou les ont-ils réellement déployés à l'échelle ? Et si les guerres météorologiques étaient utilisées pour faire avancer un programme géoclimatique afin de modifier les perceptions ? Selon le rapport, "les perceptions seraient primordiales : un État voisin pourrait considérer l'ensemencement des nuages à grande échelle comme un vol de pluie ou la raison d'une sécheresse", et "si les États décidaient unilatéralement d'utiliser des technologies de géo-ingénierie plus radicales, cela pourrait déclencher des perturbations climatiques dramatiques." 
En 2015, le Guardian a même rapporté qu'"un scientifique américain de haut niveau s'est inquiété du fait que les services de renseignement financent des recherches sur le changement climatique pour savoir si les nouvelles technologies pourraient être utilisées comme armes potentielles."

☣ L'informatique quantique rend la cryptographie obsolète 
Bien que rendre quelque chose obsolète, en particulier dans le domaine de la technologie, soit inévitable et souvent considéré comme un "progrès", certains systèmes en place pourraient être affectés négativement, notamment la vie privée. Avec l'informatique quantique, "de nombreux outils qui constituent la base de la cryptographie numérique actuelle seront rendus obsolètes. Les algorithmes à clé publique, en particulier, seront faciles à craquer."

Un sénateur américain demande une enquête sur Google concernant la "dissimulation" du bug de Google+.

 Si l'informatique quantique se déchaîne avant que les systèmes actuels ne puissent s'adapter, cela laisserait beaucoup d'informations sensibles vulnérables aux attaques. Les victimes seraient des citoyens privés, des gouvernements et d'autres entités. 
"Le quantique promet également de nouveaux modes de cryptage, mais le temps que de nouvelles protections soient mises en place, de nombreux secrets pourraient déjà avoir été perdus pour les criminels, les États et les concurrents indiscrets", peut-on lire dans le rapport. Aujourd'hui encore, des données cryptées peuvent être volées, et même si les voleurs ne savent pas comment les craquer, ils peuvent attendre l'arrivée de l'informatique quantique pour l'utiliser afin de pirater des "données historiques".

Surveillance biométrique - L'État policier de Big Brother Si vous suivez l'actualité concernant les grandes entreprises technologiques qui collaborent avec les agences gouvernementales, cette histoire ne vous sera que trop familière. Les employés de certains des plus grands noms de la technologie, tels qu'Amazon, Google et Microsoft, ont tous récemment exprimé leurs inquiétudes quant à l'utilisation de la technologie par leurs entreprises pour les gouvernements et les forces de l'ordre. Lire la suite : Les préoccupations éthiques des employés des grandes entreprises technologiques font écho aux avertissements de l'histoire : Article d'opinion "La reconnaissance faciale, l'analyse de la démarche, les assistants numériques, l'informatique affective, les micropuces, la lecture digitale des lèvres, les capteurs d'empreintes digitales, etc. La reconnaissance faciale, l'analyse de la démarche, les assistants numériques, l'informatique affective, les micropuces, la lecture digitale des lèvres, les capteurs d'empreintes digitales - à mesure que ces technologies et d'autres prolifèrent, nous entrons dans un monde où tout ce qui nous concerne est capturé, stocké et soumis à des algorithmes d'intelligence artificielle (IA)", selon le rapport du FEM. Lire la suite : N'y a-t-il rien qui ne puisse être truqué par des manipulations vocales ou faciales ? Aujourd'hui même, des médias tels que BGR et The Independent ont rapporté qu'une application a été lancée en Chine qui "implique une sorte de honte publique pour les personnes qui accumulent des dettes". "Une nouvelle application a été développée, à laquelle les citoyens chinois peuvent accéder via la populaire plateforme de messagerie WeChat du pays, qui affichera littéralement un avertissement dès qu'ils se trouveront à moins de 500 mètres d'une personne endettée. L'application a créé ce qui est essentiellement une carte des "débiteurs mauvais payeurs", selon les médias d'État chinois, et vous montre l'emplacement exact du débiteur, bien qu'il ne soit pas clair si les informations affichées comprennent un nom ou une photo." Le rapport du WEF ajoute que "l'autoritarisme est plus facile dans un monde de visibilité et de traçabilité totales, tandis que la démocratie pourrait s'avérer plus difficile - de nombreuses sociétés s'efforcent déjà de trouver un équilibre entre les menaces pour la vie privée, la confiance et l'autonomie et les promesses de sécurité, d'efficacité et de nouveauté accrues." Que la surveillance massive fasse en sorte que les citoyens se retournent les uns contre les autres ou qu'elle se contente d'appliquer la loi avec une précision sans compromis, les gens vivraient toujours dans la crainte de l'État policier. Les "Woebots" de l'IA qui se nourrissent des émotions humaines Le plus grand débat technologique de notre époque porte peut-être sur les perturbations causées par l'intelligence artificielle. Le débat est divisé entre ceux qui considèrent l'IA comme un outil utile qui nous facilitera la vie à tous et ceux qui considèrent l'IA comme la plus grande menace à laquelle les humains aient jamais été confrontés, car nous deviendrions inutiles et incapables de suivre le rythme - faisant de nous des animaux domestiques au mieux, ou exterminés au pire en cas de singularité. Lire la suite : La singularité de l'intelligence artificielle et l'effondrement du système monétaire mondial Avec le temps, l'avènement des "woebots" d'intelligence artificielle (IA) et d'outils similaires pourrait transformer la prestation de soins émotionnels et psychologiques, à l'instar des moniteurs cardiaques et des compteurs de pas", selon le rapport du WEF. Si une IA est capable de comprendre et même d'imiter les émotions humaines, elle peut également manipuler ces émotions. Cela renvoie à l'une des facettes les moins bien comprises des machines, à savoir la conscience. Qu'est-ce que l'intelligence sans conscience ? Quelles en sont les répercussions ? 
Considérez les diverses perturbations que la révolution numérique a déjà déclenchées - quel serait l'équivalent en informatique affective des chambres d'écho ou des fake news ? De l'ingérence électorale ou du micro-ciblage des publicités ?", demande le rapport du WEF, comment cela affecte-t-il le journalisme ? 

 "De nouvelles possibilités de radicalisation s'ouvriraient également, l'apprentissage automatique étant utilisé pour identifier les individus émotionnellement réceptifs et les déclencheurs spécifiques qui pourraient les pousser vers la violence. Les gouvernements oppressifs pourraient déployer l'informatique affective pour exercer un contrôle ou attiser les divisions de colère."


Suite 10 great reset ....danger.

Alors que l'IA et la biotechnologie donnent aux humains des capacités divines pour réorganiser la vie elle-même, les humains sont toujours des animaux piratables, et la menace de dictateurs numériques régnant sur des colonies de données est une menace réaliste, selon les perspectives du Forum économique mondial. "Nous ne sommes plus des âmes mystérieuses, nous sommes désormais des animaux piratables". Dans son discours sur "Comment survivre au XXIe siècle", l'historien Yuval Harari a exposé mercredi comment la technologie pourrait être utilisée pour modifier l'avenir de l'humanité de manière extrêmement dystopique. Il s'agit notamment de la création d'une "classe inutile" d'humains, de la montée des dictatures numériques avec leurs nouvelles formes de totalitarisme, et du biohacking des humains au point qu'ils deviennent soit des dieux, soit qu'ils perdent toute leur spiritualité. Certaines des prédictions d'Harari se concrétisent déjà aujourd'hui. Les États-Unis et la Chine sont au milieu d'une course aux armements technologiques. Chaque partie développe une technologie incroyablement intrusive. La Chine a créé un "État de surveillance digne d'Orwell", tandis que le Pentagone étudie les moyens de pirater les soldats afin de leur conférer des capacités spéciales. Selon l'historien, nous sommes confrontés à la possibilité d'avoir un Staline du XXIe siècle. Ce qui donnerait naissance à un Staline du XXIe siècle serait un problème d'inégalité du XXIe siècle - plus précisément des personnes qui deviennent sans intérêt aux yeux des puissants. Ceux qui échouent dans la lutte contre l'insignifiance constitueraient une nouvelle classe "inutile". Harari a prévenu que l'IA au 21e siècle pourrait créer une "classe inutile" de personnes qui seront devenues non pertinentes pour le système économique et politique grâce à l'automatisation. "Alors que dans le passé, les humains devaient lutter contre l'exploitation, au 21e siècle, la vraie grande lutte sera contre l'inutilité. Et il est bien pire d'être sans intérêt que d'être exploité. Ceux qui échouent dans la lutte contre l'inutilité constitueront une nouvelle classe "inutile". Des gens qui sont inutiles - pas du point de vue de leurs amis et de leur famille bien sûr - mais inutiles du point de vue du système économique et politique. "Cette classe inutile sera séparée par un fossé toujours plus grand de l'élite toujours plus puissante. "La révolution de l'IA pourrait créer une inégalité sans précédent - non seulement entre les classes, mais aussi entre les pays." "Nous sommes déjà au milieu d'une course à l'armement de l'IA, la Chine et les États-Unis menant la course et la plupart des pays étant laissés loin, très loin derrière". "À moins que nous ne prenions des mesures pour répartir les avantages et le pouvoir de l'IA entre tous les humains, l'IA créera probablement d'immenses richesses dans quelques hubs de haute technologie tandis que d'autres pays feront faillite ou deviendront des colonies de données exploitées." Avec les colonies de données vient la montée des dictatures numériques. "La montée des dictatures numériques qui surveilleront tout le monde, tout le temps". "Parallèlement aux inégalités, l'autre danger majeur auquel nous sommes confrontés est la montée des dictatures numériques qui surveilleront tout le monde en permanence", poursuit Harari. "Ce danger peut être énoncé sous la forme d'une équation simple, qui, je pense, pourrait être l'équation déterminante de la vie au XXIe siècle - B x C x D = AHH - ce qui signifie que la connaissance biologique multipliée par la puissance de calcul multipliée par les données est égale à la capacité de pirater les humains." "Nous, les humains, devrions nous habituer à l'idée que nous ne sommes plus des âmes mystérieuses ; nous sommes désormais des animaux piratables", a-t-il ajouté. Quand on pense que les grandes entreprises technologiques comme Google cherchent à conquérir le secteur des soins de santé, à quoi ces entreprises ont-elles accès si ce n'est à des connaissances et des données biologiques couplées à une puissance de calcul ? "Le pouvoir de pirater les êtres humains peut bien sûr être utilisé à de bonnes fins, comme la fourniture de soins de santé de meilleure qualité", a déclaré Harari, ajoutant : "Mais si ce pouvoir tombe entre les mains d'un Staline du XXIe siècle, le résultat sera le pire régime totalitaire de l'histoire de l'humanité, et nous avons déjà un certain nombre de candidats pour le poste de Staline du XXIe siècle." Harari a ensuite lancé un appel au public de Davos, afin que les élitistes présents reçoivent le message que même eux ne seraient pas à l'abri d'une dictature numérique. "Si nous permettons l'émergence de tels régimes totalitaires, ne pensez pas que les riches et les puissants dans des endroits comme Davos seront en sécurité. Il suffit de demander à Jeff Bezos", a-t-il déclaré. "Dans l'URSS de Staline, l'État surveillait les membres de l'élite communiste plus que quiconque. Il en sera de même pour les futurs régimes de surveillance totale." "Il est dans l'intérêt de tous les humains, y compris des élites, d'empêcher la montée de ces dictatures numériques."

L'IA et la biotechnologie nous donneront des capacités divines pour réorganiser la vie". Les humains, selon Harari, pourraient être complètement laissés dans le noir dans tous les processus de décision, car nous n'aurons pas la moindre idée du fonctionnement de nos systèmes. "Quel sera le sens de la vie humaine lorsque la plupart des décisions seront prises par des algorithmes ? Nous n'avons même pas de modèles philosophiques pour comprendre une telle existence", a-t-il déclaré. Les grandes entreprises technologiques nous disent ce qui est vrai, comment les choses fonctionnent, ce qu'il faut acheter et où manger, et nous ne serons jamais en mesure de comprendre la complexité de la façon dont leurs algorithmes arrivent à leurs conclusions. C'est pourquoi des gens comme Elon Musk nous disent que si nous ne pouvons pas les battre, rejoignons-les. En d'autres termes, nous devrions fusionner nos corps et nos esprits avec l'IA. Harari, encore une fois, a averti qu'en devenant dieux, nous pourrions perdre de vue ce que signifie être humain. "Dans les décennies à venir, l'IA et la biotechnologie nous donneront des capacités divines pour réorganiser la vie et même créer des formes de vie complètement nouvelles", a déclaré l'historien. Si nous n'avons peut-être pas de cadre philosophique pour aborder ce scénario, nous avons la mythologie. Si nous examinons les mythes de la création à travers le monde, nous pouvons voir comment les "dieux" ont lutté exactement de la même manière avec leurs créations artificielles (les humains). Par exemple, le Popol Vuh, le livre saint des Mayas, raconte comment les créateurs ont lutté dans leur quête pour construire le spécimen parfait à travers de nombreuses étapes d'essais et d'erreurs. Lorsqu'on philosophe sur l'IA, le Popol Vuh nous rappelle que nous devons d'abord déterminer pourquoi nous la créons. Dans le cas des dieux, les humains ont été créés dans le seul but de servir et d'adorer leurs créateurs. Avec le temps, les dieux ont perdu le contrôle de leurs créations et ont dû tuer la majeure partie de la population, tout comme le déluge dans l'Ancien Testament. Cependant, leurs créations humaines étaient résistantes et ont rapidement rebondi. Elles ont fini par expulser leurs créateurs, et les humains sont devenus les seigneurs de la Terre. Que se passera-t-il si et quand les humains fusionneront avec leurs créations ? "En utilisant nos nouveaux pouvoirs divins de création, nous pourrions commettre des erreurs à l'échelle cosmique". Selon Harari, "après quatre milliards d'années de vie organique façonnée par la sélection naturelle, nous sommes sur le point d'entrer dans une nouvelle ère de vie inorganique façonnée par la conception intelligente - notre conception intelligente va être la nouvelle force motrice de l'évolution de la vie". "En utilisant nos nouveaux pouvoirs divins de création, nous pourrions commettre des erreurs à l'échelle cosmique. "Les gouvernements, les entreprises et les armées vont probablement utiliser la technologie pour améliorer les compétences humaines dont ils ont besoin, comme l'intelligence et la discipline, tout en négligeant d'autres compétences humaines comme la compassion, la sensibilité artistique et la spiritualité", a-t-il ajouté. C'est ce qui se passe déjà aux États-Unis, à des fins militaires, par l'intermédiaire de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA). La DARPA a mis en place plusieurs programmes de recherche visant à "biohacker" les soldats, tels que le programme "Measuring Biological Aptitude", qui cherche à caractériser et à améliorer les phénotypes pertinents dans une série de compétences. En outre, la DARPA a un autre programme visant à transformer la peau humaine en un répulsif à moustiques. Que se passerait-il si les humains étaient remaniés pour améliorer certains traits au détriment d'autres ? "Le résultat, selon Harari, "pourrait être une race d'humains très intelligents et très disciplinés, mais manquant de compassion, de sensibilité artistique et de profondeur spirituelle." Que devient la prise de décision lorsque l'humanité fusionne avec la machine ? Quelles nouvelles formes de vie allons-nous créer, si ce n'est des Golems modernes de la mystique juive ? Selon Harari, les défis technologiques auxquels le XXIe siècle est confronté sont des défis mondiaux qui nécessitent des solutions mondiales sans détruire le nationalisme - une sorte de Coupe du monde de la gouvernance technologique où chacun concourt et encourage son équipe locale, mais aussi où tout le monde joue selon les mêmes règles universelles.


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Les États-Unis et la Chine sont au milieu d'une course aux armements technologiques. Chaque partie développe une technologie incroyablement intrusive. La Chine a créé un "État de surveillance digne d'Orwell", tandis que le Pentagone étudie les moyens de pirater les soldats afin de leur conférer des capacités spéciales. Selon l'historien, nous sommes confrontés à la possibilité d'avoir un Staline du XXIe siècle. Ce qui donnerait naissance à un Staline du XXIe siècle serait un problème d'inégalité du XXIe siècle - plus précisément des personnes qui deviennent sans intérêt aux yeux des puissants. Ceux qui échouent dans la lutte contre l'insignifiance constitueraient une nouvelle classe "inutile". Harari a prévenu que l'IA au 21e siècle pourrait créer une "classe inutile" de personnes qui seront devenues non pertinentes pour le système économique et politique grâce à l'automatisation. "Alors que dans le passé, les humains devaient lutter contre l'exploitation, au 21e siècle, la vraie grande lutte sera contre l'inutilité. Et il est bien pire d'être sans intérêt que d'être exploité. Ceux qui échouent dans la lutte contre l'inutilité constitueront une nouvelle classe "inutile". Des gens qui sont inutiles - pas du point de vue de leurs amis et de leur famille bien sûr - mais inutiles du point de vue du système économique et politique. "Cette classe inutile sera séparée par un fossé toujours plus grand de l'élite toujours plus puissante. "La révolution de l'IA pourrait créer une inégalité sans précédent - non seulement entre les classes, mais aussi entre les pays." "Nous sommes déjà au milieu d'une course à l'armement de l'IA, la Chine et les États-Unis menant la course et la plupart des pays étant laissés loin, très loin derrière". "À moins que nous ne prenions des mesures pour répartir les avantages et le pouvoir de l'IA entre tous les humains, l'IA créera probablement d'immenses richesses dans quelques hubs de haute technologie tandis que d'autres pays feront faillite ou deviendront des colonies de données exploitées." Avec les colonies de données vient la montée des dictatures numériques. "La montée des dictatures numériques qui surveilleront tout le monde, tout le temps". "Parallèlement aux inégalités, l'autre danger majeur auquel nous sommes confrontés est la montée des dictatures numériques qui surveilleront tout le monde en permanence", poursuit Harari. "Ce danger peut être énoncé sous la forme d'une équation simple, qui, je pense, pourrait être l'équation déterminante de la vie au XXIe siècle - B x C x D = AHH - ce qui signifie que la connaissance biologique multipliée par la puissance de calcul multipliée par les données est égale à la capacité de pirater les humains." "Nous, les humains, devrions nous habituer à l'idée que nous ne sommes plus des âmes mystérieuses ; nous sommes désormais des animaux piratables", a-t-il ajouté. Quand on pense que les grandes entreprises technologiques comme Google cherchent à conquérir le secteur des soins de santé, à quoi ces entreprises ont-elles accès si ce n'est à des connaissances et des données biologiques couplées à une puissance de calcul ? "Le pouvoir de pirater les êtres humains peut bien sûr être utilisé à de bonnes fins, comme la fourniture de soins de santé de meilleure qualité", a déclaré Harari, ajoutant : "Mais si ce pouvoir tombe entre les mains d'un Staline du XXIe siècle, le résultat sera le pire régime totalitaire de l'histoire de l'humanité, et nous avons déjà un certain nombre de candidats pour le poste de Staline du XXIe siècle." Harari a ensuite lancé un appel au public de Davos, afin que les élitistes présents reçoivent le message que même eux ne seraient pas à l'abri d'une dictature numérique. "Si nous permettons l'émergence de tels régimes totalitaires, ne pensez pas que les riches et les puissants dans des endroits comme Davos seront en sécurité. Il suffit de demander à Jeff Bezos", a-t-il déclaré. "Dans l'URSS de Staline, l'État surveillait les membres de l'élite communiste plus que quiconque. Il en sera de même pour les futurs régimes de surveillance totale." "Il est dans l'intérêt de tous les humains, y compris des élites, d'empêcher la montée de ces dictatures numériques."

L'IA et la biotechnologie nous donneront des capacités divines pour réorganiser la vie". Les humains, selon Harari, pourraient être complètement laissés dans le noir dans tous les processus de décision, car nous n'aurons pas la moindre idée du fonctionnement de nos systèmes. "Quel sera le sens de la vie humaine lorsque la plupart des décisions seront prises par des algorithmes ? Nous n'avons même pas de modèles philosophiques pour comprendre une telle existence", a-t-il déclaré. Les grandes entreprises technologiques nous disent ce qui est vrai, comment les choses fonctionnent, ce qu'il faut acheter et où manger, et nous ne serons jamais en mesure de comprendre la complexité de la façon dont leurs algorithmes arrivent à leurs conclusions. C'est pourquoi des gens comme Elon Musk nous disent que si nous ne pouvons pas les battre, rejoignons-les. En d'autres termes, nous devrions fusionner nos corps et nos esprits avec l'IA. Harari, encore une fois, a averti qu'en devenant dieux, nous pourrions perdre de vue ce que signifie être humain. "Dans les décennies à venir, l'IA et la biotechnologie nous donneront des capacités divines pour réorganiser la vie et même créer des formes de vie complètement nouvelles", a déclaré l'historien. Si nous n'avons peut-être pas de cadre philosophique pour aborder ce scénario, nous avons la mythologie. Si nous examinons les mythes de la création à travers le monde, nous pouvons voir comment les "dieux" ont lutté exactement de la même manière avec leurs créations artificielles (les humains). Par exemple, le Popol Vuh, le livre saint des Mayas, raconte comment les créateurs ont lutté dans leur quête pour construire le spécimen parfait à travers de nombreuses étapes d'essais et d'erreurs. Lorsqu'on philosophe sur l'IA, le Popol Vuh nous rappelle que nous devons d'abord déterminer pourquoi nous la créons. Dans le cas des dieux, les humains ont été créés dans le seul but de servir et d'adorer leurs créateurs. Avec le temps, les dieux ont perdu le contrôle de leurs créations et ont dû tuer la majeure partie de la population, tout comme le déluge dans l'Ancien Testament. Cependant, leurs créations humaines étaient résistantes et ont rapidement rebondi. Elles ont fini par expulser leurs créateurs, et les humains sont devenus les seigneurs de la Terre. Que se passera-t-il si et quand les humains fusionneront avec leurs créations ? "En utilisant nos nouveaux pouvoirs divins de création, nous pourrions commettre des erreurs à l'échelle cosmique". Selon Harari, "après quatre milliards d'années de vie organique façonnée par la sélection naturelle, nous sommes sur le point d'entrer dans une nouvelle ère de vie inorganique façonnée par la conception intelligente - notre conception intelligente va être la nouvelle force motrice de l'évolution de la vie". "En utilisant nos nouveaux pouvoirs divins de création, nous pourrions commettre des erreurs à l'échelle cosmique. "Les gouvernements, les entreprises et les armées vont probablement utiliser la technologie pour améliorer les compétences humaines dont ils ont besoin, comme l'intelligence et la discipline, tout en négligeant d'autres compétences humaines comme la compassion, la sensibilité artistique et la spiritualité", a-t-il ajouté. C'est ce qui se passe déjà aux États-Unis, à des fins militaires, par l'intermédiaire de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA). La DARPA a mis en place plusieurs programmes de recherche visant à "biohacker" les soldats, tels que le programme "Measuring Biological Aptitude", qui cherche à caractériser et à améliorer les phénotypes pertinents dans une série de compétences. En outre, la DARPA a un autre programme visant à transformer la peau humaine en un répulsif à moustiques. Que se passerait-il si les humains étaient remaniés pour améliorer certains traits au détriment d'autres ? "Le résultat, selon Harari, "pourrait être une race d'humains très intelligents et très disciplinés, mais manquant de compassion, de sensibilité artistique et de profondeur spirituelle." Que devient la prise de décision lorsque l'humanité fusionne avec la machine ? Quelles nouvelles formes de vie allons-nous créer, si ce n'est des Golems modernes de la mystique juive ? Selon Harari, les défis technologiques auxquels le XXIe siècle est confronté sont des défis mondiaux qui nécessitent des solutions mondiales sans détruire le nationalisme - une sorte de Coupe du monde de la gouvernance technologique où chacun concourt et encourage son équipe locale, mais aussi où tout le monde joue selon les mêmes règles universelles.